« Un sort d'amour de retrouvailles qui nous a réunis à nouveau. Peu de temps après que le prêtre ADU ait lancé son sort d'amour, mon partenaire a recommencé à m'envoyer des SMS et s'est senti horrible pour ce qu'il venait de me faire subir. Il a dit que j'étais la personne la plus importante dans sa vie et il le sait maintenant. Nous avons emménagé ensemble et il était plus ouvert à moi qu'avant, puis il a commencé à passer plus de temps avec moi qu'avant. Depuis que le prêtre ADU m'a aidée, mon partenaire est très stable, fidèle et plus proche de moi que jamais. Je recommande fortement le prêtre ADU à toute personne ayant besoin d'aide. (priestadu@ gmail. com) »

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caro - 26 avril 2022 - 13:25

« Merci pour ce témoignage de vie. Chaque Chrétien est appelé à s'engager là où son cœur l'appel. Merci aussi à ceux qui œuvrent et se battent pour la dignité de l'homme à tous les niveaux. »

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Agnès Corion - 16 mars 2021 - 9:19

« Soeur Catherine Thierry nous enseigne par cette méditation l'importance de l'humilité. Jésus fait homme est venu pour servir et non être servi. Reconnaître avec bienveillance le bien qui nous a été fait c'est être humble comme il a été. Merci beaucoup soeur Catherine. »

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Denis 972 - 11 mars 2021 - 21:42

« Merci pour votre témoignage qui me donne des forces pour continuer à travailler pour ceux qu'ont besoin
»

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gra - 10 mars 2021 - 22:45

« Nostalgie, nostalgie ?!
»

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Rémy - 10 mars 2021 - 22:38

« Merci Sœur Catherine pour votre sincérité et vérité.
Je comprends très bien votre position à cette époque et je trouve courageux votre attitude, voulant vivre de très près la solidarité des ouvrières.
Si aujourd'hui vous reviviez en usine, je pense qu'il faudrait aussi vivre la solidarité vis à vis des responsables "cadres" qui sont aussi décontenancés par des attitudes égoïstes et autocentrées.
L'entreprise quel qu'elle soit ne peut réussir que si le respect est mutuel, que le projet est partagé et la dignité humaine est recherchée.
Merci »

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Daniel - 10 mars 2021 - 21:36

« Bonsoir Soeur Catherine,

J'ai bien aimé vote témoignage. Vous m'avez rappelé mon père, qui était aussi ouvrier d'usine, OS, et qui n'a jamais voulu de promotion. Il aurait été capable, étant très intelligent. Mais il ne se sentait pas du tout chef d'équipe, et il a bien fait de s'écouter, plutôt que d'écouter ma mère qui le pressait de monter ! Je pense qu'il avait les mêmes raisons que vous. Il ne faut pas forcer sa nature, cela ne donne jamais rien de bon.
Le travail en usine est pénible, chapeau à vous ! Vous connaissez le fameux livre de cet intellectuel qui a voulu travailler en usine (l'établi, de Claude Leenart-je ne suis pas sure de l'orthographe), c'était dans la ligne de 1968, mais j'ai lu le récit de sa vie de famille par sa fille, elle est bien moins élogieuse. L'engagement politique semble être difficilement compatible avec le rôle de père... »

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antoinette IDF - 11 mars 2021 - 14:31

« Merci, Sœur Catherine, pour votre témoignage
à propos de votre solidarité avec les ouvriers, les plus petits.

Votre discussion avec ce directeur,
lui-même entrainé dans la compétition qui domine notre société,
n’a probablement rien compris à votre démarche personnelle
... en tous cas ce jour-là …

Peut-être même votre refus de lui tendre la main
en lui signifiant que vous vouliez rester ouvrière,
a-t-il placé entre vous une courte vibration
sur le thème de la « lutte des classes »...

Mais… qu’aurais-je fais à votre place ?
J’espère malgré tout que ce directeur aura eu le temps de constater
que vous étiez heureuse et apaisée au milieu de vos collègues.

Car ce n’est pas vous qui auriez pu changer son système de valeur.
Je crois modestement que c’est là
le travail de l’esprit de paix qui nous anime.

J’ai travaillé pendant une trentaine d’années
au Service Médical des Forces Armées,
la plupart du temps dans les unités combattantes.

À la fin mon service actif, je n’étais donc plus un simple soldat.
Cependant, j'ai toujours pensé et voulu appliquer l'idée
que le temps que nous passions à parler ensemble
n’était pas du temps perdu, mais plutôt du temps gagné.

Merci, chère Sœur, pour votre partage plein de générosité.

Bonne soirée, chers amis !
»

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Paul (Belgique) - 10 mars 2021 - 18:16

« Merci Sœur Catherine pour ce témoignage.
Il me laisse pourtant un gout bizarre: y aurait il des catégories de personnes à l'intérieur d'un groupe humain qui aurait plus "droit" à la présence des frères ou sœurs de Jésus? Ce supérieur qui proposait une promo voulait il vous séparer de votre "classe" ou vous permettre de continuer votre travail de témoignage à un autre niveau?
J'ai si souvent rencontré dans ma vie industrielle ce sentiment que seul le milieu ouvrier devait être évangélisé. Le témoignage que je peux apporter est que partout la Parole de Jésus doit être entendue, et parfois cela devient très difficile en montant dans la hiérarchie.
Je reste admiratif de votre expérience qui me rappelle tant ce qu'était le travail dans un atelier de tissage avec tout son bruit et sa poussière.
Souhaitons que les Fidèles de nos Eglise cherchent à rencontrer leurs Prochains sur les lieux de vie plus que dans les temples.
»

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Bernard ZELTNER - 10 mars 2021 - 16:40

« Ah, les petites (et grandes) injustices de la vie courante au travail !
Les conditions difficiles (chaleur, bruit, pollutions, accidents) d’un côté, les « préférences » hiérarchiques de l’autre.
Et ce mode de raisonnement implicite du « chacun pour soi » qui nie l’existence possible d’une solidarité.
Pourtant, que ce soit là ou à l’armée, tout groupe humain porte une histoire collective, une « ambiance » bonne ou mauvaise, et en fin de compte une appartenance qui est incontournable.
Mais ce peuple ouvrier « qui m’accueille comme j’étais » est le plus souvent sincère et brave, de bonne humeur comme on est dans le Nord, et souriant, ouvert, une fois la glace rompue.
Bien sûr, il y a toujours quelques inimitiés de caractères, mais le plus important, « statistiquement » (pas électoralement), c’est de bénéficier de la confiance.
Pour moi, la vraie « prévarication » (ne pas satisfaire aux obligations d’une charge), c’est de ne pas écouter le ressenti des employés.
Du temps de Jésus, ces Sadducéens qui avaient organisé le fonctionnement selon leurs petites affaires sont les responsables à l’origine du détournement de la Loi de Moïse.
De même pour Pilate : aucune écoute, aucune empathie.
Un dialogue de sourds menant à un PV de carence en négociations salariales ! Ou bien pire.
»

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Vincent59 - 10 mars 2021 - 16:33

« Il me semble que ce qui est le mieux partagé , en ce monde, c'est bien l'Injustice. Vous aviez un Chef, ni plus , ni moins juste qu'un autre . Votre qualité, de Sr. ouvrière, le dérangeait (peut-être?) .... Un à priori, sans doute, sur le côté "catho", qui ne plait pas toujours . Je me souviens d'un de nos voisins, très aimable, qui changea, du jour au lendemain, quand il appris que notre famille était pratiquante. Il n'y eut plus de courtoisie et plus de sourires. Rassurez-vous, nous l'avons accepté : "Bonjour, Bonsoir"et nous avons respecté la "distanciation"... .Dès, votre embauche dans cette usine, ce Chef a fait preuve d'injustice , mais apparemment, votre place, vous plaisez, proche de celles qui étaient vos compagnes. Cependant, cet homme a reconnu son erreur, en vous offrant une promotion (signe qu'il appréciait votre travail). Vous l'avez refusé ! quelle claque !!! .... A ce moment, un fossé vous séparait . Sa colère passée, il vous tend une main que vous refusez ! La colère avait changé de bord . Depuis, Dieu Merci, vous êtes réconciliés..... Bien sûr, vous connaissez le Père Guy Gilbert, qui raconte une anecdote : Un jour, il rend visite à un prisonnier qui avait commis un crime effroyable . Guy l'écoute, sans cesser de penser à la victime. A l'instant du départ, l'homme tend la main au Père, qui a un geste de recul,...Il hésite, et finit par serrer la main tendue .En terminant, le Père Guy dira " C'était le Christ qui me tendait la main !

Bien à vous.
J;C »

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J.C - 10 mars 2021 - 15:44

« Merci encore pour votre témoignage du jour. Il me touche particulièrement, car mon époux avait également refusé de prendre un poste avec plus d'avantages.
Il voulait rester simplement au même niveau que ses collègues pour terminer sa carrière. Cela a été mal perçu, mais c'était sa décision.
Je travaillais dans la même "entreprise", à présent c'est privatisé, et les cancans comme vous dites, j'en ai entendu plus que de raison, plus il y avait de femmes,
(je vais me faire des ennemies) mais c'est la réalité, plus il y avait d'histoires.
J'avoue que je mettais souvent un bâillon à ma bouche, sauf parfois lorsque la coupe était pleine, je sortais de mes gonds, mais ce n'est pas mon genre.
Je comprends votre choix, sœur Catherine, vous vouliez rester au près des plus petits, comme le bon berger. Vous rayonnez de bonté ! »

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monette - 10 mars 2021 - 15:03

« Bonjour soeur Catherine,
Merci pour ce partage qui inspire.
J'aime votre audace et votre authenticité !

Je crois, oui, que c'est la bonne heure pour dénoncer les non-sens et justement inspirer «le bon sens». Avoir le courage de le faire, de se positionner. Vous avez montré l'exemple. Jésus n'aimait pas la tiédeur...

Ce matin, je pensais aux enfants.
Aujourd'hui, on a oublié de leur apprendre à devenir des êtres communautaires, de vivre ensemble.
On les prépare à compétitionner les uns avec les autres pour obtenir les métiers qui sont les plus payants; cela, sans tenir compte de leur identité profonde.
Quel gâchis...

Je fais confiance au Créateur , afin qu'ils nous «ordonnent» et qu'ils nous remettent sur le bon chemin.

Union de prière
agnès


»

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agnès - 10 mars 2021 - 14:29

«
Bonjour soeur Catherine, merci pour votre témoignage, pour votre engagement aux côté des ouvriers; vous avez été un bel exemple de solidarité, merci de nous faire partager votre enrichissante expérience.
Nous pouvons tous, là où nous sommes, où nous vivons témoigner de notre foi, de notre amour pour celui qui est le "prochain", le frère créé à la ressemblance de Celui qui s'est fait chair et qui est allé jusqu'à donner sa vie pour nous. Je n'ai pas travaillé en usine, mais, engagée dans la JOC, j'ai toujours été solidaire de ceux qui peinaient avec moi. J'ai toujours en mémoire la belle prière jociste : Seigneur Jésus, ouvrier comme nous...
Kathy, tu dois t'en souvenir ?
Oui, chère soeur, nous pouvons suivre ce chemin, son chemin, le chemin de Jésus envoyé par le Père, là où sommes en usine, au bureau, en Eglise... et même encore maintenant et toujours malgré l'âge !
Merci et belle retraite à vous et à tous, toutes !

»

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Marie Jeanne - 10 mars 2021 - 13:36

« Un oui , c'est un oui , et un non c'est un non .
Il me semble simplement que selon ce que l'on ressent , discerne
le choix reste une prise de position .
Si déjà le terrain semble à aplanir ...Le coeur a ses raisons , le temps ensuite
donne raison.
Enfin la réalité vécue , elle seule peut amener une confiance dans ce qui est une vocation , un engagement , pour être affermie .
Et le Verbe c'est fait chair ? L'expression de la sagesse .Mais le principe de ce monde n'est-ce pas l'amour et LE Christ a habité parmi nous.
Merci sr , je pourrais vous parler de mon père Joseph qui a travailler dès l'âge de 14ans mineur , marteau piqueur , mais je sais que son projet était
de vivre , pas de mourir ;
Tout concourt au bien de ceux qui aiment Dieu.
Vous m'êtes très sympathique , merci .
»

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fred - 10 mars 2021 - 13:25

« Bonjour à tous

Franchement je ne comprends rien à cette méditation, ni à certains messages, il faut dire que je n'ai jamais travaillé à l'usine, mais je connais le monde "de la canne à sucre" et autres misères.
J'ai travaillé dans l'administration où j'ai connu une période noire, dite de placard, pendant un an, on me parlait pas, comme mon ancien service avait été dissout, on m'a catapulté dans une administration qui m'était inconnue en obligeant un directeur contre sa volonté à me donner un poste. J'ai connu le bore-out, je rasais les murs le midi pour ne pas rencontrer les collègues. Je ne sortais pas de mon bureau, je n'avais rien à faire. Je n'en pouvais plus. Ma foi m'a sauvé. Après une nuit d'adoration au Sacré-Coeur le Seigneur m'a donné la force et le courage de dire les choses. J'ai été convoquée un mercredi des Cendres dans le bureau du chef hiérarchique j'ai su le pourquoi du comment, je n'étais pour rien. Après la messe des cendres, je suis rentrée chez moi, pendant un an j'ai été payée, ensuite j'ai pris ma retraite, je peux vous dire une chose, l'hypocrisie, les coups bas, les entourloupes, le placard, la méchanceté, et j'en passe peuvent aller très loin
et pousser un agent à un geste irréparable. »

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Suzelle - 10 mars 2021 - 11:44

« Il y a une dizaine de fois que je m'inscrits à la retraite je ne reçois rien, on m'envoie la confirmation que je suis inscrite mais rien ne suit.
Merci de voir ce qui se passe Monique »

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Monique Landry - 10 mars 2021 - 11:29

« Donc, si j'ai bien compris, vous étiez sœur avant d'aller à l'usine et vous n'êtes pas issue du monde ouvrier, ma question "par quelles circonstances, cette vocation d'engagement au sein du monde ouvrier, s'est elle révélée à vous ?"
Si c'est indiscret, ne me répondez pas, de toute façon cela ne change rien à votre engagement... Kat »

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Kat - 10 mars 2021 - 10:45

« Merci ma soeur pour votre témoignage très profond. Mon mari ayant travaillé très furent dans la forge d'une industrie métallurgique, se brûlant, se blessant par les charges lourdes, nous a souvent parlé de ce milieu où de beaux liens se nouent. Lorsque notre fils David était seminariste , après la première formation à Nancy, on lui a demandé de faire un an de travail. Il a choisi d'être ouvrier, il a fait les 3 postes et comme son papa a toujours répondu présent lorsqu'on avait besoin de lui. A son arrivée, certains l'on regardé de travers, puis voyant qu'il ne manquait pas de bonne volonté et parlait à tous, il a été adopté. Son année de travail, lui a beaucoup appris quant à la situation de certaines familles, beaucoup se confiés à lui. Après il a fini sa formation au séminaire de Metz où les séminaristes, les professeurs et surtout le supérieur de l'époque lui on t apporté beaucoup
Depuis 18 ans qu'il est prêtre, il dit toujours que cette étape dans sa vie a été un grand plus pour mieux comprendre les travailleurs.
Comme d'habitude, j'ai lu avec grand plaisir les commentaires. Merci à tous.
Très belle journée »

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BLANDINE CHAUDEY - 10 mars 2021 - 10:40

« Dénoncer l'injustice vouloir témoigner contre elle est louable (je pense à l'évangile où l'ouvrier de la 1ère heure conteste le salaire reçu, équivalent à celui de la dernière heure). Le favoritisme, les passe-droit existent dans toutes les couches de la société, dans tous les domaines y compris le monde ouvrier : je me rappelle les confidences d'une ouvrière travaillant sur une chaîne de production parlant des "méthodes" mises en oeuvre par celle qui la précédait sur la chaîne pour ralentir ou augmenter la cadence en bloquant ou en accélérant la transmission des pièces ! Dans le but d'obtenir une promotion, par rancune personnelle ? Je me rappelle la conversation avec une soeur lorsque j'étais en Angleterre, envoyée par mes parents pour améliorer mes notes très mauvaises dans cette langue : en dehors des cours, nous nous promenions dans le parc et l'avions trouvée désherbant à la main le potager. Elle avait expliqué qu'arrivée sans dot à la congrégation, elle était assignée à ce genre de tâches. C'était il y a longtemps mais les choses ont-elles vraiment changé ? St Paul parle de la charité ; en ce temps de carême, l'aumone est conseillée . Il y a d'autres façons d'exercer la charité, ne serait-ce que d'avoir un regard bienveillant sur nos frères et soeurs en Christ, parfois plus difficile que la pièce, le billet ou le chèque que l'on tend. Bonne semaine de Carême. En pensées avec vous. »

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mahona - 10 mars 2021 - 10:38

« Ma jeunesse à Limoges fut nourrie par l'amitié de mes parents et de ma femme et sa famille avec des prêtres ouvriers et je les revoit avec sœur Catherine, et grâce a eux(dont un fut mon ouvriers jean Galisson) j'ai beaucoup changé pour être artisan patron vraiment serviteur de tous en recherche de Justice dans les salaires et vie quotidienne pour que le travail soit au service de l'homme et non l'ouvrier au service(esclave) du travail :
Pour être grand, vis à vis de Dieu, dans son royaume, il faut vivre de la loi de Dieu et de l'enseignement de l'évangile de jésus, même si elle ne paraît plus à la mode._ »

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paul de Limoges - 10 mars 2021 - 10:00

« Grand et humble merci St Catherine pour vos témoignages de cette semaine, votre visage et votre voix définissent votre bienveillance aux plus petits, vos engagements contre les injustices, votre douceur en profondeur, et la Présence de Dieu en vous si forte, si perçante, si moelleuse aussi... Cadeau de vous entendre. Nostalgie d'un pan chrétien des prêtres, des religieus.es du monde ouvriers, d'actions catholique... C'est celui dans lequel j'ai grandi et qui m'habite, je me sens souvent en dorbure des mouvements qui ont le vent en poupe. MERCI. »

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Blandine - 10 mars 2021 - 9:27

« Bonjour soeur Catherine,
Pourquoi refuser une main tendue. Il peut il y avoir plusieurs explications, certaines parfois d’ailleurs inconscientes au moment où ça arrive...
Mais ce que je comprends c’est que vous grimpiez par une autre échelle.
Il y en a qui accepte les promotions, là aussi pour diverses raisons et certaines aussi parfois inconscientes, conscients ou inconscients de tout ce qui va avec la promotion.
Il y a ceux à qui on ne propose jamais rien et qui aimerait bien et puis il y a ceux qui se contentent de ce qu’ils ont, parfois déjà bien contents de ne pas être sur le bas côté, comme d’autres...
On entend parfois dire que « la chance sourit aux audacieux » ou bien encore,
« Qui ne tente rien n’a rien »..
La vie en entreprise, la vie en communauté, la vie en société, la vie dans le monde, tout ça est bien semblable et ressemble parfois, de loin, de très très loin, à un petit troupeau tranquille paissant dans de verts pâturages, mais plus on se rapproche et plus on voit des bêtes qui partent de tous les cotés, dans tous les sens, certaines chétives et malades, d’autres bien grasses, d’autres encore cabriolant deci dela, ça pourrait faire penser à un troupeau de brebis sans bergers... »

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Isabelle 2 - 10 mars 2021 - 8:50

« Merci, ma sœur, pour ce témoignage, qui rapproche l'église du quotidien "ouvrier".... Et qui construit un pont entre les réalités de millions de personnes, alors que les médias nous montrent un monde tellement loin de nous.
J'ai également été militante syndicale.
Actuellement, je suis dans une période de doute, d'immobilisme, d''acedie?
Mais ces messages rallument une petite flamme ! MERCI. »

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Brigitte - 10 mars 2021 - 8:31

« Franchement soeur Catherine votre vie vos réactions me rejoignent au plus profond . En couple,en famille nous avons toujours cherché la justice la simplicité la Paix en lien avec les valeurs de l evangile . »

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Manine - 10 mars 2021 - 8:29

« Merci pour votre témoignage. Comment avez vous su que c'était votre camp ? Comment avez vous discerné que vous deviez refuser cette promotion si on vous l'a proposé plusieurs fois ? Moïse était proche du pharaon pour pouvoir un jour sauver le peuple hébreu ! Votre histoire m'interpelle.
»

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Andrée - 10 mars 2021 - 7:51

«

Merci pour cette méditation. Je pense à ce texte de Madeleine Delbrêl qui disait :

"Voici pour moi l'essentiel de la "leçon d'Ivry" : apprendre qu'un milieu athée
n'est pas totalement un mauvais lieu ou tentations tendent des embuscades
à la foi, mais une terre de conversion ou Dieu a prévu des épreuves qui
choisies par Lui, reconnues par nous, feront de notre foi, là même ou elle
doit lutter, la foi saine et vigoureuse que Jésus Christ nous a donnée." »

Répondre

Khaly - 10 mars 2021 - 7:39

« Merci pour ces méditations offertes et celle d'hier m'avait beaucoup touché, mais je me suis senti très mal à l'aise avec celle d'aujourd'hui (10 mars)
Refuser de serrer la main de ce frère que Jésus avait placé sur votre route....
Un jugement sur la personne alors que seul Dieu connait chacun, dans son intégralité, dans sa plénitude.
Je ne sais pas comment vous le vivez aujourd'hui, mais je prie le seigneur pour qu'il vous apporte la paix. »

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Hubert - 10 mars 2021 - 6:54