« « Je juge, tu juges, il juge… que du plaisir ! »
Nous jugeons, vous jugez, ils/elles jugent… présent de l’indicatif!

« croire qu’après-demain on pourra prendre plaisir à autre chose qu’à surprendre quelqu’un pour le juger. »
Bon ben… on va patienter, sans savoir ce que ça veut dire, ce que ça nous réserve, ni de quoi demain sera fait.
Mais aujourd’hui je me demande ce qu’elle a pensé cette femme. Probablement qu’au début elle a dû se dire que son heure était venue? Avait-elle peur de cela? Ou était elle déjà « résignée » à tout ce qui pouvait lui arriver?
peut-être que comme ceux qui la jugent, elle s’est demandée? Que va-t-il faire, dire, lui, Jesus? Est-ce qu’elle le connaissait déjà? Avait-elle déjà entendu parlé de lui? Que savait elle de lui?
Qu’est-ce qu’il pourrait bien faire pour elle? Un miracle?
Est-il différent des scribes et des pharisiens, des gardiens de la loi?
Peut-être qu’il y avait longtemps qu’elle ne se posait plus de questions et prenait la vie avec ses « plaisirs » et ses « déplaisirs » comme ils viennent? »

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Savant ignare insensé - 03 avril 2022 - 23:29

« Je juge, tu juges, il juge, nous jugeons...

C'est vrai que nous devons respecter la loi...mais finalement quelle loi?

En tant que maman, si l'on s'en prend à mon enfant, mon tout petit, je serais enragée et c'est humain. Mais Jésus est venu nous montrer ce qu'est le véritable Amour avec un grand A.

J'ai appris au catéchisme les 3 P : Paix, Partage et Pardon.

Je crois qu'ici, Jésus à simplement renvoyé les juges à faire leur propre introspection avant de juger. Juger c'est devenir soi-même coupable, car Dieu seul est juge.

Nous sommes donc "condamnés" à pardonner, abandonner toute rancœur ou amertume pour être libre, heureux de vivre, aimer et partager.

Alors oui Seigneur je laisse tout entre tes mains.

Sincèrement à toutes et à tous, bonne entrée dans la Semaine Sainte.

PS. Bien heureuse d'avoir pu avoir de vos nouvelles et de vous lire Marie Jeanne, et bien sûr de lire tous nos compagnons de route. »

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Marilou - 03 avril 2022 - 21:38

« Oui , c'est facile de juger, on juge parfois sans s'en rendre compte. On juge comme si nous étions, parfaits; Merci Jésus, de nous faire prendre conscience avec cette femme adultère de l'Evangile, que, si je me permets de juger l'autre, faut peut être avant tout que je me juge moi même; c'est à dire, de faire mon examen de conscience. La nouvelle loi de Jésus: "va je ne te condamne pas, mais ne pèche plus" c'est la miséricorde!!! Merci Jésus pour tant d'amour... Gloire à toi! »

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claudemarie - 03 avril 2022 - 19:55

« Lorsqu’un justiciable enfreint la loi (ou la Loi, à cette époque), cela met tout de suite en position de supériorité ceux qui ont constaté l’infraction (ou le péché).
Ces témoins passent alors très facilement en mode accusatoire, sûrs de leur « bon droit » et n’hésitent pas à démolir une réputation sur un seul fait évoqué. Ou pire, dans le cas de Jésus, utilisent cyniquement la femme fautive pour tendre un piège et pouvoir ensuite à nouveau accuser.
Et c’est là où l’on voit la faiblesse de la justice humaine avec tout son côté émotionnel et subjectif.
Le vrai Jugement n’est pas de ce monde. Impartial, il viendra à la fin des temps.
Ces scribes et ces pharisiens de l’Evangile d’aujourd’hui (sans vouloir les juger !) me semblent être sous l’effet de la colère renfermée, sous ses quatre formes.
En premier la blessure morale à leur amour propre concernant les miracles et l’enseignement de Jésus, car ce sont eux les chargés des questions religieuses.
En second la frustration, celle d’être depuis peu « mis au placard » face à leur public habituel.
En trois l’insatisfaction, de ne pouvoir « coincer » Jésus d’un point de vue doctrinal.
Et en quatre, le sentiment d’injustice car un pardon si souvent accordé ne peut cadrer avec ce qu’ils enseignent, c’est pour eux un laxisme « coupable ».
Remarquez que dans tous ces sentiments qui les travaillent, il n’y a rien qui concerne cette femme adultère, objet de leur manipulation : un jugement de valeur « existentiel » !
»

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Vincent59 - 03 avril 2022 - 19:15

« Merci fr Maxime ;
ma liberté s'arrête là où commence celle des autres .
Pour ce qui est de juger , le mauvais sort reste ce choix ,
ils courent tous pour voir un meurtre finalement , c'est
une loi sans pitié .
Mais c'est Jésus qu'on essaie de piéger, encore et toujours
rappelez-vous ce qui est de laisser à César ce qui est à César
et ce qui est à Dieu , pourtant le jugement met toute une loi , alors qu'il est certains que Jésus savait tout d'eux , de leurs bon , mauvais esprit .
Faire le possible pour les autres , comme on voudraient que l'on fasse pour nous , c'est Dieu qui s'implique , la bonne image , la mauvaise image de la
compassion ,du pardon , mais la fascination de ce qui est de juger , reste
bien un choix selon la disposition , on pense au sang d'ABEL qui crie vengeance , et Dieu montre pourtant bien les conséquences .
On voit des prisonniers , des années après , être reconnus innocents ,
c'est dire , que savons- nous vraiment ?
Si on ne sait pas pardonner , voir sauver ce qui est possible , c'est comme voir Dieu d'un mauvais œil.
On dit de tourner sept fois sa langue dans sa bouche , car la parole de Dieu est faite pour sauver , mais dans le jugement dans la foulée , on est comme cette foule déchaînée qui au calvaire , n'ont cesser de blasphémer , on connaît tous la suite , mais Jésus malgré cet assassinat , demandera au Père de leurs pardonner , tous frères ? soeurs ? Quand cela touche un des nôtres , ça change tout , on espère un jugement clément »

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fred - 03 avril 2022 - 18:32

« Je remets tout entre tes mains
Francine Picard

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❤ »

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CHRISTINE B 1 - 03 avril 2022 - 17:30

« Il ne me semble pas avoir pris du plaisir "à juger qui que se soit". Sans doute l'ai-je fait , comme chacun d'entre-nous, mais jamais pour une bagatelle. Ce matin, j'ai bien écouté, le Père Denis Ledogar, sur France 2, , son homélie était juste et grave . En effet, Jésus n'a pas condamné la "Femme Adultère ", mais n'a pas non plus rejeté la Loi ..Il a seulement dévié l'exécution, en mettant les accusateurs, face à leur propre conscience. .Ceux qui pensent juger, doivent être nets, sans péché... Bien entendu, nous connaissons la suite. Vaincus, les accusateurs s'en vont, et la sentence ne tient plus. Pourtant, le Christ n'approuve pas la faute, mais ne condamne pas. C'est un retournement. Jésus, clôt cette affaire, par "Va et ne pèche plus". Cette dernière phrase reste la plus importante (je te relève, mais ne blesse plus ton conjoint)....

Maintenant, si nous parlons de faits gravissimes, meurtres.... etc..... Comment résister à la tentation?.... Nous jugeons (avec raison me semble-t-il !) . La tolérance à ses limites, même si nous sommes, tous, coupables d'offenses plus ou moins graves. Juger, n'est pas un plaisir, mais , souvent, une nécessité ....Un être "malfaisant" doit être mis hors d'état de nuire . Tout dépendra de sa faute ....Il doit se remettre en cause, regretter, changer de comportement. C'est bien ce que le Seigneur demande. Malgré ses erreurs, chacun possède "une part de cristal" (G.Gilbert). Cependant, il faut le vouloir pour changer . »

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J.C - 03 avril 2022 - 17:04

« Juger, un plaisir ?
Je crois qu’il s’agit avant tout d’un pauvre outil humain de survie.
Jésus même nous l’a dit :
« C'est à cause de la dureté de votre cœur
que Moïse vous a permis de répudier vos femmes… ».

Chers amis,
ce dimanche, après le texte qui nous parle de cette pauvre femme,
je suis retourné à la maison en me disant que Jésus
ne nous invite pas ici à discuter ensemble
des raisons psychologiques et morales
du comportement des autres.

Merci à notre cher curé africain qui nous en a parlé
aujourd'hui avec toute de simplicité de son coeur.

Jésus, qui est venu parmi nous pour faire naître,
au milieu de nous, la volonté de Son Père,
ne nous invite même pas à une introspection
sur le déroulement de notre vie.

« Je suis venu amener la Loi à sa perfection ».
Il nous invite à un regard illuminé par la Vérité.
Il nous invite, chacun, à nous tourner vers Dieu.

Car nous savons tous, chacun, ce qui nous pèse dans notre cœur.

Ce n’est que dans la Lumière de l’Amour et du Pardon
que nous aurons assez d’espérance pour lever les yeux vers le Père.
En fait, ce passage de l’Évangile nous parle d’Espérance.

Il me semble, humblement, comme pour chacun de nous,
que le premier concerné par cette espérance, c’est moi-même.
Elle me permettra ensuite de regarder les autres
avec un peu plus de lumière.

J’espère qu’il en sera question
durant les échanges entre nous de cette semaine.

Bonne semaine sainte, à tous et chacun.
»

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Paul (Belgique) - 03 avril 2022 - 16:18

« J'ai tout remis entre tes mains :
ce qui m'accable et qui me peine,
ce qui m'angoisse et qui me gêne,
et le souci du lendemain.
J'ai tout remis entre tes mains.

J'ai tout remis entre tes mains :
le lourd fardeau traîné naguère,
ce que je pleure, ce que j'espère,
et le pourquoi de mon destin.
J'ai tout remis entre tes mains.

J'ai tout remis entre tes mains :
que ce soit la joie, la tristesse,
la pauvreté ou la richesse,
et tout ce qu'à ce jour j'ai craint.
J'ai tout remis entre tes mains.

J'ai tout remis entre tes mains :
que ce soit la mort ou la vie,
la santé ou la maladie,
le commencement ou la fin.
J'ai tout remis entre tes mains.

Marie Henrioud

si bien chanté par Patrick Richard »

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Marie Jeanne - 03 avril 2022 - 15:24

« Cher frère Maxime, je juge..... que vous parlez trop vite pour que l'on puisse s'approprier votre méditation. Quel dommage car votre diction est parfaite et vos propos portent à réfléchir. Sans rancune. »

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Marie-Yvonne - 03 avril 2022 - 14:19

« Qui n'est pas habité par le bien ou le mal ? Qui n'a jamais fait d'erreurs ? Juger être jugé (e) sans cesse dans l'erreur parfois. L'erreur qui fait mal. Bien sûr il faut la justice. Mais est-elle bien juste comme on peut y croire ? Y penser.
Alors je n'ai pas envie de Juger... ? Je ne suis pas née pour juger l'autre.
Mais pour aimer l'erreur de l'autre peut-être. Les plus belles histoires d'amour sont peut-être celles qui sont passées par des erreurs des jugements infondés
Alors j'écoute cette chanson
"Les plus belles histoires d'amour... " Elsa Esnoult & Anthony Colette sur YouTube. Souvent maintenant. Mais aujourd'hui enfin j'ai le courage de te dire que je t'aime même si l'orage venait nous emporter je t'aime je t'aime je t'aimerai.
Juger l'autre n'est il pas aussi l'aimer trop parfois dans l'erreur et chercher le pardon pour lui donner sa liberté. Ou le retrouver.
Comme le christ dieu d'amour jugé et sacrifié et qui a dit "je reviendrai !" »

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CHRISTINE B 1 - 03 avril 2022 - 13:08

« Je voudrais rajouter quelque chose à mon commentaire d’ il y a quelques minutes. Au fond, ce que ce passage d’ èvangile et la méditation du Frère Philippe m’ inspirent, c’ est que plutôt que de juger les autres parce qu’ ils sont différents ou ne pensent pas comme moi, je me sens appelée à regarder mes propres comportements pour éviter tout ce qui m ‘ abîme et abîme les autres et la planète. Et cela va de pair avec le travail pour le Royaume de Paix et de tant désiré par notre Père. Et avant tout m’abandonner à Sa Miséricorde ! »

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Brigitte - 03 avril 2022 - 12:33

« Commettre un adultère, il faut être deux, ors, la femme était seule face aux Pharisiens.
Ceux-ci ne se sentent pas offensés par la conduite de la femme adultère. Leur intention est de piégé Jésus. Le Seigneur ne partage pas le mensonge, mais il miséricordieux, Il ne condamne pas le pécheur, mais le péché.
« Je suis venu appeler les pécheurs, pas les justes ».
« Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus. »
»

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santalMais c’est le Christ qu’ils voulaient livrer. - 03 avril 2022 - 12:17

« Ne jugez pas et vous ne serez pas jugés. Oui , nous ne devons pas nous instaurer juges car qui sommes nous pour juger les autres. Mais en tout cas, quand nous sommes témoins d’une injustice , je pense que nous avons le devoir de demander justice et si c’est nécessaire, interpeller les institutions(nationales et internationales) pour qu’ elles fassent leur travail dans le respect des droits de tout ètre humain et même de tout être vivant. La situation en Ukraine et aussi dans tellement de pays où les droits de l’ homme sont bafoués et la planète maltraitée est tellement inacceptable que je ne me sens pas le droit de ne pas demander un jugement.. Amnesty International ne s’instaure JAMAIS juge mais exige que la justice fasse son travail . Lutter contre l’injustice est aussi travailler au Royaume de Justice et de Paix que veut notre Père. Je crois que les deux affirmations tiennent ensemble. Ne jamais juger et lutter contre ce qui abîme et même parfois tue l’ homme et la nature. »

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Brigitte - 03 avril 2022 - 12:10

« Merci pour ce témoignage »

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Armand - 03 avril 2022 - 11:58

« Et je me rappelle aussi cette anecdote venant des moines des premiers siècles qui vivaient au desert. Un frère avait commis une grave faute contre la communaite, et les autres s'étaient réunis pour décider d'une sanction. Comme ils n'y arrivaient pas, on alla chercher dans sa cellule le plus vieux, qui n'était pas venu a cette assemblee. Quand il apparu, il était charge d'un sac de sable pose sur son épaule. Le sac était troue et le sable sen' echappait. Quand on lui demanda ce que cela signifiait, il répondit :" mes péchés s'ecoulent derrière moi et je ne les vois pas. Alors, comment pourrais je juger le péché de mon frère ?". »

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Antoinette idf - 03 avril 2022 - 11:33

« Ah sur cette question du jugement, il y aurait beaucoup la a dire., et beaucoup l'ont dit. Je vais quand même ajouter mon grain de sel. C'est vrai que j'ai toujours craint le jugement. Manque d'humilité..., je supporte mal les critiques, et les compliments ne me satisfont jamais entièrement. Par contre, je juge facilement que les autres ont tort, et mes compliments ne sont souvent pas tout a fait désintéressés. Comme etre humain, je ne peux pas juger froidement, d'une manière strictement objective, et c'est bien ainsi. Je peux quand même m'efforcer de ne pas avoir deux poids deux mesures. Si je m'accepte avec mes faiblesses, je pourrai faire de même pour les autres.. Quoiqu'il soit recommande d'être dur avec soi même et doux avec les autres, car je ne suis pas dans leurs mocassins. Au moins, je ne refile pas la patate chaude de la culpabilité. C'est une affaire entre moi et dieu.
Idem dans cet évangile .En refusant de juger, et en renvoyant chacun a sa conscience, Jésus se sort du piège tendu. Et il le fait avec délicatesse, sans confronter personne, car c'est une question de vie ou de mort pour la femme. Et à elle, il lui dit :" je ne te juge pas, mais ne te remets plus dans le pétrin, je ne serai pas toujours la pour te sauver".
Enfin, je repense a st Jean :" celui qui n'a pas cru au nom du fils de dieu est déjà jugé ", c'est a dire l'auto -condamnation, le refus du pardon ( orgueil). Laisser le jugement a dieu, au moment de ma mort, D'ici la, l'avenir reste ouvert. »

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Antoinette idf - 03 avril 2022 - 10:02

« Amen, amen, je vous le dis : qui écoute ma parole et croit en Celui qui m’a envoyé, obtient la vie éternelle et il échappe au jugement, car déjà il passe de la mort à la vie. (Jn 5, 24)
Devant toute question ecclésiale, Paul opère un retour au centre : il ne répond jamais par des règles d’organisation, des schémas d’institution ou des principes moraux : il commence toujours par ramener les chrétiens à l’essentiel, par les reconduire devant le Christ serviteur et serviteur crucifié. (Roselyne Dupont-Roc) »

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Jacques - 03 avril 2022 - 9:28

« La neige est tombée
Il gèle
Les oiseaux cherchent à manger mais continent de chanter
Le sol est glissant
La nature vit
Le soleil va revenir comme un rayon de soleil que je suis
Chante mon cœur ❤
Chante seigneur
Chante mon ami
Qui se permet de juger l'autre
L'inconscient qui ne sait rien
Le puissant qui sait tout
Moi je vis l'essentiel Le jour et la nuit
D'ouvrir mon cœur ❤ d'écouter la beauté de cet essentiel
Toutes ses petites choses oubliées.

Si la femme est adultère que fait le mari ?
On ne sait pas on ne sait rien.
Je vais tu vas
Je t'aime tu m'aimes ?
Juger ne m'intéresse pas
Aimer oui.
Bon dimanche à toutes et tous.
Que vos cœurs soient lumières espérance et Amour. Que renaissance le chant des oiseaux le ruisseau qui coule le soleil qui brille ou tombe tombe petite neige pour protéger la terre de nos erreurs.

En union de prières »

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CHRISTINE B 1 - 03 avril 2022 - 8:18

« « Ô Pénitence, Pénitence ! Vertu que Jésus-Christ m'a donc méritée, que Dieu Père, devenu mon vrai Père, que Dieu Fils s'étant rendu mon frère, que Dieu Esprit, tout consommé en Amour envers moi, m'a substituée en la place de la vertu d'innocence ! J'ai tout recouvré en recouvrant la Pénitence. Faisant naufrage de l'innocence, je faisais naufrage de tout ; ayant la Pénitence pour la récompense de ma perte, je me récompense de tout. Ô Pénitence donc, mon unique ressource, seule table de mon naufrage, seule espérance des pécheurs comme moi, que désormais tu me seras aimable ! Ton seul nom me ravit déjà et m'emporte le cœur. Sois désormais toute la vertu de mon âme, toute l'attention de mon esprit, tout l'attachement de mon cœur... Efface tous mes péchés, refais toute mon âme ; remets tout ce que je suis entre les Mains de mon Dieu ! »

Ainsi soit-il.


Père Jean-Baptiste Noulleau »

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Partage - 03 avril 2022 - 7:56

« J'aime bien juger quand ça m'arrange (surtout ceux ou celles qui ont du pouvoir), mais quand c'est moi qui me crois jugé (à juste titre ou non), alors mon orgueil se rebiffe ! Sans compter tous les dégâts latéraux ! Apprends-moi, Seigneur, à "laisser aller", à "pardonner"! Philippe A. »

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philippe - 03 avril 2022 - 6:16