Faire un don
Retour

À vous la parole (34 commentaires)

« J'ai aimé l'image de la lampe que vous avez utilisez pour illustrez votre message. "Veillez". Au 21ème siècle, époque de la modernité, je ne pouvais pas pensé que vous allez prendre cette lumière des siècles lointains. C'est cette image qui m'a fait chaud au cœur et qui m'a aidé à prendre au sérieux cette invitation de veiller. Que c'est beau...... »

Répondre

CLARISSE KABANGA TSHALA - 25 février 2024 - 19:08

« Bref, tout ce que l’Église appelle le péché, péché qui nous éloigne du bonheur promis par les Béatitudes. J'aime bien le catalogue des choix malheureux et des décisions irréfléchies, établi par frère Albert Bażyk. "Le vocabulaire de la faute est extrêmement riche et fluide dans la Bible. Pas moins d'une cinquantaine de mots (maux ?) occupent ou traversent le champ très vaste de toutes les oppositions entre hommes ou entre hommes et Dieu." (Bible dite de Bayard - page 3117) Me rassure la certitude qu'il me sera difficile de ne pas trouver, dans ce catalogue, les péchés qui me concernent et que ce catalogue me rappelle opportunément (pour me conduire au port).

»

Répondre

Jacques - 22 février 2024 - 9:59

« oui, il est bien facile de se laisser aller!! et de descendre la pente... et c'est difficile parfois aussi de rester vigilent: moral en baisse - tristesse - solitude incompréhension - informations désastreuses - etc.... Heureusement, je me reprends et je veux m'en sortir et retrouver ma joie de vivre... Dieu est là, il est présent, je le crois, alors je réagis et il m'aide a retrouver ma joie, je fais de nouveau confiance à Celui qui m'aime »

Répondre

claudemarie - 21 février 2024 - 22:55

« Effectivement, dans la méditation de ce jour, j'ai voulu m'arrêter un instant sur la question du péché. C'est effectivement le péché qui peut nous séparer de la vraie JOIE, du bonheur que Jesus en personne exprime sur la montagne dans les béatitudes. Et dans la liste (non exhaustive) je voulais montrer quelle attitude, comportement ou omission peut nous empêcher à avoir ce don de Dieu qui est une véritable JOIE. En plus, j'ai essayé de croiser cela entre mon ministère et les textes de la liturgie qui nous parle beaucoup de la conversion de notre péché - pour que la conversion puisse avoir lieu, il nous faut sortir de nos zones de confort, abandonner nos habitudes qui ne sont pas bons - comme le péché, à savoir nos actes contre Dieu, mon prochain et nous-même. C'est que dans la conversion (gr. metanoia), en confessant nos fautes, (comme nous le demande le Christ) nous allons pouvoir retrouver la source de cette véritable JOIE. Je suis persuadé que ce saint temps de Carême est une belle occasion de se poser aussi ce genre de question. Belle poursuite de ce chemin ! »

Répondre

frère Albert Bażyk - 21 février 2024 - 21:18

« Merci beaucoup Frère Albert pour tous vos enseignements !

La "Conversion": j'ai appris dimanche lors de l'homélie que le fait de pleurer était signe de conversion.

Ce qui m'a rassuré sur un épisode que j' ai vécu.
»

Vincent59500 - 22 février 2024 - 19:26

« Frère Albert invite à la vigilance pour éviter ce que Ste Thérèse de Lisieux nommait "imperfections spirituelles", "infirmités morales" telles que le manque de jugement, les susceptibilités des caractères, les distractions pendant les offices...... Elle reconnaissait avoir de la difficulté parfois .à se concentrer pendant les prières Notre Père qui voit dans le fond des coeurs fera certainement la part des choses et regardera,,, je l'espère, avec indulgence les intentions et les réalisations avec les talents confiés »

Répondre

mahona - 21 février 2024 - 20:32

« La miséricorde de Dieu est infinie. »

Répondre

monette - 21 février 2024 - 19:57

« Que c'est vrai !
Pas seulement les malheureux emprisonnés, mais tout le commun des mortels que nous sommes, nous avons ces mêmes difficultés.

La Foi réchauffe comme un brasier dans l'hiver mais il faut y mettre des bûches de temps en temps.
Sinon, effectivement elle risque de faiblir vers une certaine auto complaisance, une paresse, une léthargie de la volonté.

Cette attitude statique et bornée, ce laxisme que vous dites nommés Péché par l'Église est bien ce que j'essaie de combattre en moi-même.

Cette rébellion contre la Vérité est vraiment un effet du mal qui agit entre autres sur tout ce qu'il peut trouver d'orgueilleux en nous (l'orgueil, le péché fondamental du Diable).

Maîtriser ses pensées : quel combat !

Imaginez que vous soyez devenu d'un seul coup télépathe vers un grand nombre : quelles suées ce serait pour contenir toute mauvaise pensée !

Des moyens existent.

M'aimer moi même, premier pas difficile pour moi mais indispensable pour aimer les autres comme je le voudrais.

Effectivement, notre conscience morale n'est pas qu'un gendarme intérieur, elle nous aide à nous purifier.
»

Répondre

Vincent59500 - 21 février 2024 - 19:49

« Bonsoir à vous tous

Il y a une émission sur KTO "la foi prise aux mots" avec
Soeur Marie Monnet
un petit éclairage »

Répondre

Suzelle - 21 février 2024 - 19:48

« " Nous purifier pour retrouver cette joie que Dieu dépose dans notre coeur."
Merci Frère Albert. »

Répondre

Geneviève - 21 février 2024 - 19:05

« Le temps du carême a débuté avec le mercredi des Cendres, quand le prêtre a mis sur notre front, une croix avec de la cendre et en nous disant "convertissez vous et croyez à la bonne nouvelle". C'est un temps de conversion. Il est bon de reprendre toutes les choses, actes, que nous faisons et qui ne sont pas en accord avec ce que nous demande le Seigneur. Quand nous prendrons conscience de ce qui n'est pas bon, en changeant notre coeur (le sacrement de réconciliation nous y aidera), nous pourrons être dans la paix et avancer vers Pâques avec joie. »

Répondre

Catherine - 21 février 2024 - 17:57

« Bonjour sœurs et frères dans le Christ. Après avoir écouter la méditation j'aime lire vos commentaires. Par contre aujourd'hui certains commentaires m'ont rendu triste. Cela m'a fait penser au jeu 'chercher l'erreur'. Vous connaissez peut-être ce jeu qui nous montre 2 images dont l'une est altéré et nous devons trouvons les altérations. Nous nous concentrons sur les détails de l'image et malheureusement nous oublions souvent l'ensemble de l'image.
Merci pour vos commentaires partagés qui exprime vos contemplations de la joie dans votre quotidien en lien avec la méditation du jour. Merci à ceux et celles qui préparent ces méditations. Continuez à être témoin de cette joie que le Seigneur veut semer dans mon cœur et nos cœurs. Veillons. »

Répondre

Claude Boudreau - 21 février 2024 - 17:18

« Bonsoir Claude,
Un chemin difficile que celui du Carême. J’écoute les méditations depuis longtemps. Elles sont comme des présences amicales me rendant visite chaque matin.
Depuis deux jours cette amie revêt une forme qui me heurte. Ce heurt est assez puissant pour me donner l’envie de l’exprimer dans cette rubrique.
Je prie.
J’espère trouver la réponse avec l’aide de l’Esprit Saint.
Vous avez raison de souligner le travail formidable et le service de tous les intervenants du site dominicain.
Je me joins à votre gratitude.
Bien à vous Claude. »

Vincent - 21 février 2024 - 17:37

« Merci frère Albert pour cette méditation dont le titre et la finale « Veillez » donnent un tout autre éclairage au contenu.
Cette liste n’est ici, à mon avis, qu’une liste d’exemples…
L’essentiel n’est-il pas de prendre garde à tout ce qui pourrait nous empêcher « de veiller » pour préparer nos cœurs à accueillir la joie du Christ ressuscité ? »

Répondre

Ge - 21 février 2024 - 14:23

« Tu es Seigneur, un Dieu puissant, lent à la colère et plein d’amour, de tendresse et de miséricorde, tu sais la vérité, tu vois notre impuissance à nous maîtriser, à éprouver de la joie, à vivre en paix avec nous-mêmes et les autres… la division et la discorde règnent en maîtres absolus sur cette terre..

Celui que tu as choisi, docile aux inspirations de ton Esprit a donc écrit dans la liste des fruits de l’Esprit : paix, joie, maîtrise de soi … Il ne les a pas inscrits dans la liste de tes commandements, interdictions qui sont dénonciations des péchés. Tu l’as inspiré et il les a mis dans la liste des fruits de l’Esprit-Saint, Défenseur et Consolateur, Esprit qui, respectant notre liberté, choisit de rechercher notre collaboration.
Reconnaître notre impuissance à vivre la paix, la joie, la maîtrise de soi, c’est discerner avec justesse et reconnaître la vérité : sommes prisonniers, malades et impuissants. Nous avons besoin de guérison et de libération.
Et de même que le médecin, le psychologue ou le psychiatre ont besoin d’entendre la liste de nos symptômes afin de poser un diagnostique juste et pertinent sur nos malaises corporels et psychiques afin de trouver le bon remède, de même, tu as voulu qu’il en soit ainsi pour ce qui est de nos maux spirituels. Aller dire à un prêtre que nous sommes incapables de nous maîtriser c’est lui dévoiler une fragilité ou un combat d’ordre spirituel. L’accompagnement spirituel dans la prière différera selon ce qui aura été discernê.
»

Répondre

Anita - 21 février 2024 - 13:44

« Le jour où j’ai avoué mon impuissance à me trouver des péchés et que j’ai révélé certains événements de ma vie spirituelle en confession, j’ai reçu un choc, un choc-lumière et vécu une transformation radicale et immédiate au moment de l’absolution. Comprenne qui pourra. Je sais, moi, maintenant, que le sacrement du pardon est aussi un sacrement de guérison et de libération.

Nous sommes des êtres-paroles incarnés. Nous avons besoin de dire pour nous libérer et guérir, d’entendre avec nos oreilles pour mieux comprendre et retrouver la paix. Le Seigneur le sait. Lors de ce sacrement, c’est Jésus lui-même qui agit.

La joie et la maîtrise de soi sont des fruits de l’Esprit. On reconnaît un arbre à ses fruits. Ces fruits de l’Esprit sont des critères de discernement pour ce qui est de l’origine de certaines de nos pensées, de certains mouvements de notre âme, ou des paroles entendues qui peuvent provenir soit de lui, l’Esprit de Dieu, de nous- mêmes, ou du Malin.

Ainsi se reconnaît aussi la collaboration d’un être humain avec l’Esprit de Dieu : par ses gestes et ses paroles joyeuses, pacifiantes… car c’est du bon trésor offert par l’Esprit et que l’homme reçoit en son coeur, que ce dernier tire le bien. Notre bouche parle toujours de l’abondance de ce qui se trouve dans notre cœur.

Nous avons à apprendre à vivre sous la mouvance de l’Esprit, c’est-à-dire à accueillir ses inspirations et à nous faire attentifs aux mouvements qu’il suscite en nous. »

Anita - 21 février 2024 - 14:45

« Je vis de beaucoup de souvenirs et cette méditation me fait penser à ce moment de joie qui explosait chez les jeunes de profession de Foi que j'ai accompagnés pendant bien des années. Ce moment de joie qui explosait après leur confession lors de la retraite......
»

Répondre

Geneviève - 21 février 2024 - 13:09

« Refus de pardonner. Culpabilisation de la victime. L'Eglise n'a toujours pas appris de ses erreurs. »

Répondre

Aspie Rine - 21 février 2024 - 13:01

« Merci
Merci de continuer à nous donner de la joie en espérance. Même si nous avons commis des erreurs dans notre vie.
»

Répondre

Christine - 21 février 2024 - 12:45

« Et bien n'en déplaise à certains commentaires de cette méditation, tout comme pour celles du début de cette semaine, je trouve que les méditations du Frère Albert Bazyk nous parle en toute vérité, douceur, bienveillance, et surtout simplicité... La méditation d'hier sur la tristesse en est un autre exemple remarquable. Ca fait du bien ! Et je n'y vois aucun propos moralisateurs. Tout le contraire de certaines méditations de la semaine dernière de Sœur Marie Monnet, allant jusqu'à parfois contenir certains propos hors sujet, et surtout inappropriés et déplacés dans une méditation religieuse (méditation "Pleurs de joie") ! Quelle différence... »

Répondre

Patrick - 21 février 2024 - 12:22

« Tout à fait d'accord avec vous Patrick »

Blandine - 21 février 2024 - 12:55

« Je ne comprends pas votre critique au sujet de la méditation de soeur Marie. Je n'ai pas saisis cette méditation tel que vous la critiquer. Au contraire je suis en accord avec ce qu'elle dit au sujet des Directeurs spirituels. De plus je suis aussi en accord avec le fait que notre meilleur Directeur spirituel c'est le Seigneur et son Esprit-Saint soyons donc à l'écoute en prenant un moment de silence chaque jour pour entendre et obéir à la voix de l'Esprit-Saint de Jésus. Bon Carême qu'il soit dans cette joie pure du Seigneur. »

Chloé - 21 février 2024 - 14:02

« Bonjour Patrick,
Pourquoi attendre aujourd'hui pour exprimer votre insatisfaction des méditations proposées les jours passés ?
Pourquoi employez vous un vocabulaire suspicieux et peu précis pour exprimer vos reproches des méditations de la semaine dernière?
Pourquoi opposer les intervenants ?
Pourquoi prendre appui sur les méditations de ce jour pour en comparer les valeurs spirituelles avec celles passées ?
Pour reprendre les mots de la charte: cela n’est pas très constructif et ne vient pas alimenter la bienveillance.
Bien à vous Patrick

»

Vincent - 21 février 2024 - 17:03

« Désolé de vous contredire, cher Vincent à 17h03, mais je n'ai pas attendu aujourd'hui pour apporter des commentaires. Merci de revoir les différentes méditations depuis le début de ce carême. Quant à la charte, j'estime qu'elle est là parfaitement respectée, contrairement à certains autres intervenants Bonne soirée à vous.. »

Patrick - 21 février 2024 - 19:30

« Je rejoins Vincent sur la méditation de ce jour. Il est facile de prendre ce ton moralisateur, Ou est on le plus proche de Dieu, en jugeant ou en accueillant sans à priori le pêcheur ? Que Dieu me pardonne pour ce jugement. »

Répondre

Hélène - 21 février 2024 - 11:52

« Nous recevons tellement de méditations et de textes bien préparés et éclairants, mais que j'ai du mal à suivre et à assimiler pour ainsi dire. Je pourrais presque m' arrêter ici sur cette méditation et la garder jusqu'à Pâques, bon courage et Belles journées á vous ! »

Répondre

Paolo - 21 février 2024 - 10:46

« Non non, non et non ! L incapacité, la non-maitrise... ne sont pas le péché ! La finitude n'est pas le péché , mais la condition humaine ! Certes dans cette finitude, le péché peut se glisser, mais il faut arrêter de culpabiliser ! Dieu est plus grand que notre cœur si celui-ci venait à nous condamner.... »

Répondre

Agnès - 21 février 2024 - 9:30

« Je comprend votre colére Agnes, j'ai aussi reçu une image du Dieu vengeur, la peur du péché dont la définition tellement nous échappe, comme je voudrais mieux aussi comprendre Sa Misericorde »

Paolo - 21 février 2024 - 11:12

« Merci encore frère Albert ! Vos mots résonnent en moi comme le stimulus pour me remettre debout, me remettre en marche. Il est bon de faire état de tout ce qui peut m'éloigner et certains mots comme " discipline" sont maintenant des mots tabou dans le monde d'aujourd'hui... à demain avec impatience »

Répondre

Emmanuelle - 21 février 2024 - 8:54

« Bonjour compagnons de chemin !

En ouvrant "Magnificat" ce matin, je tombe sur les mots suivants que je vous livre sans commentaires : "Ne tombons pas dans la tristesse, ne sombrons pas dans le désespoir par impatience envers nous-mêmes. Que l'espérance nous mène vers la joie parfaite." Jour de Saint Pierre Damien. »

Répondre

philippe - 21 février 2024 - 8:08

« Oui, pitié pour moi, mon Dieu, parce que des chiens me cernent.
Renouvelle et raffermis au fond de moi ton esprit saint que je puisse enseigner tes lois aux pécheurs, en commençant par moi-même, et que les égarés puissent revenir à toi, Père infiniment bon, en commençant par moi
Tu ne repousses pas, ô mon Dieu un esprit brisé et broyé. Fais de tes ennemis, moi y compris, le marchepied de ton trône.
Que ton esprit généreux me soutienne.
Reste avec moi quand le jour baisse, et rends-moi la joie d’être sauvée, la joie qui rend le fardeau de la vie léger à porter. »

Répondre

PG - 21 février 2024 - 6:30

« La méditation de ce jour agit sur moi comme un repoussoir. Pardon.
Elle commence par le domaine de charge de frère Albert (mon ministère) pour continuer sur des propos, encore une fois, culpabilisant et surplombant.
Je ne ressens pas l’amour du Christ dans cette méditation mais la présence trop dominante de Frère Albert.
Que le Seigneur nous bénisse. »

Répondre

Vincent - 21 février 2024 - 5:20

« Oui, Vincent, je vous comprends très bien.. Le frère Albert commence un peu brutalement et surtout si vous écoutez le ton, c'est dur..
Le mot péché sonne dur. Les personnes blessées ont parfois du mal à pardonner. ... Mais c'est vrai que bien des attitudes peuvent nous couper de la joie. Elle est un cadeau que le Seigneur nous donne.
"La miséricorde du Seigneur, à jamais je la chanterai"...chant liturgique
Et l'amour efface bien des péchés! N'est-ce pas encourageant? »

cath - 21 février 2024 - 7:28

« Bonjour à vous tous,
Frère Albert ne s’est fait QUE l’écho résonnant de ce dont on lui a parlé en confession. Tel est le sens de son premier paragraphe. Il ne nous propose PAS un examen de conscience, il TÉMOIGNE de son expérience de confesseur et il le fait avec délicatesse : il constate la fragilité de l’être humain en utilisant l’expression « comme il est facile de ». Il fait un témoignage de ce qu’il a entendu sans nommer personne. Loin d’être accusateur, il parle dans le même sens que Jésus : « Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font. » : il écrit : « choix malheureux et décisions irréfléchies. » Nous sommes loin de l’image que nous avons d’un juge dont la fonction est de condamner.

Le thème de cette retraite est celui de la joie c’est pourquoi il l’utilise plus souvent que celui de « l’amour de Dieu » qui apparaît de toute façon dans le dernier paragraphe.
Jésus est d’accord avec frère Albert, n’a-t-il pas raconté la joie du berger retrouvant sa brebis perdue, celle de la femme ayant bien en main sa drachme perdue, celle du Père miséricordieux qui organisent une fête à laquelle en correspond une au ciel?
Merci d’avoir suscité cette réflexion de relecture du texte. Je me suis posé la question suivante : « Que dit le texte objectivement en soi? »
Bonne journée à vous tous,
Anita »

Anita - 21 février 2024 - 16:01

-0:00