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À vous la parole (72 commentaires)

« Merci Sœur Marie. ❤️
Vous êtes dans l Amour de Dieu.
Vous permettez l écoute et de rendre vérité notre Seigneur.

Quelle violence les propos que j ai pu lire dans « à vous la parole ».Je suis une simple femme, mais je perçois dans ces écrits : du jugement, des jeux de pouvoirs, de la peur … tout ce que notre Seigneur ne souhaite pas. »

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Laurence - 09 mars 2024 - 9:51

« Je répond à une demande concernant la modération des commentaires. Elle existe bien. Cet espace a pour objectif de donner la parole à chacun. Les commentaires sont la plupart du temps bienveillants. Cependant certains propos, hors sujets et parfois virulents, nous ont amené à réfléchir à une Charte pour cette rubrique. Elle sera prochainement publiée et chacun, invité à la respecter. »

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Soeur Anne-Claire Dangeard - 19 février 2024 - 13:30

« Sur ce sujet vous pouvez écouter "La Légende de Joseph en Egypte", oeuvre musicale vocale avec récitant de Joseph-Nicolas Méhul, et lire "Joseph", du P.J. Bitaubé, récit inspiré de cette histoire biblique. »

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Philippe - 17 février 2024 - 12:04

« Je vois frères et soeurs que vous avez compris comme moi cette dernière phrase qui est véritablement débile plus que lamentable (désolé ma soeur); peut etre etes vous une disciple de MME SOUPA candidate à l'évéché
Quand comprendrez vous que le modernisme ne mene nulle part, si il éloigne de la religion catholique
Le féminisme est dans l'amour de marie, jeanne ou thérese, nos patronnes principales et secondaire, dans la piété sincere de nos religieuses ou laiques »

bruno - 18 février 2024 - 15:59

« Je suis surprise par la teneur des certaines réponses et le langage utilisé.
N'y a-t-il pas une personne qui fasse de la modération ici ? »

Stéphanie - 19 février 2024 - 11:09

« Le problème est qu'à la suite de la parution de cette méditation il y a maintenant plusieurs jours, beaucoup de méditants ont été surpris, voire déstabilisés dans leur chemin méditatif, par ces propos sur la théorie du genre qui n'ont à priori rien à faire dans une méditation religieuse ! Malheureusement, malgré les multiples interrogations publiées, ainsi que les demandes d'explications souhaitées, Soeur Marie Monnet ne semble pas accepter de justifier, ou du moins de compléter ces propos assez énigmatiques. C'est bien dommage... Et cela engendre malheureusement certains propos excessifs, que ce soit dans le sens du soutien ou de la critique... »

Patrick - 19 février 2024 - 18:12

« Merci pour l’explication, Patrick.
La surprise, la déstabilisation, l’incompréhension et même le désaccord ne justifient jamais l’irrespect.
D’autant plus dans un espace de méditation, où nous écrivons des messages sans urgence.
Parce qu’avant de taper sur les touches, nous avons la possibilité de prendre du recul, de réfléchir, de nous poser, de prier et de méditer.
Sur ce site comme ailleurs, devant notre écran, ne devrions-nous pas systématiquement nous rappeler que nous sommes la lumière du monde et que Dieu nous commande d’aimer ? »

Stéphanie - 20 février 2024 - 4:44

« Merci Sr Marie pour cette belle méditation. Je n'avais jamais fait attentions aux différents aspects que vous enoncez:
- les pleurs de joie et la souffrance ds le silence: il est si bon de laisser les émotions s'exprimer, de les partager par les larmes.
- l'unique présence des hommes: mais où sont les femmes ? Probablement le reflet d'une réalité de l'époque qui s'estompe doucement mais parfois, par endroits trop lentement encore... »

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Géraldine - 17 février 2024 - 9:07

« Merci pour cette belle méditation! Pleurer pour exprimer son émotion intense, n’est-ce pas déjà un clin d’œil à la part de féminité? Merci d’aborder la question de la reconnaissance sous différents angles… »

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Ombeline - 17 février 2024 - 1:09

« Le dernier paragraphe annule toute la méditation, c'est juste dommage. Est ce l'endroit pour régler ses comptes ? La méditation est un outil pour nous permettre de nous rapprocher de Dieu, pas pour polémiquer. Triste et dommage
Francoise »

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Franka - 16 février 2024 - 23:03

« Tout à fait d'accord avec vous. Ce paragraphe à la fin est lamentable. »

Lena - 17 février 2024 - 12:57

« Entièrement d’accord avec vous. Le début était plutôt lumineux : pleurs de la joie d’être de nouveau réunis pour de vrai , pleurs de la joie d’être enfin le fils de son petit le frère de ses frères… dommage pour joseph : il ´n’a pas de sœurs !
L’endroit pour lancer ce débat stérile n’est pas le bon et cette conclusion n’a rien à faire ici ! Quant à l’insistance sur le on , elle est plutôt désagréable ! Dommage…
Le Christ est certainement tellement au dessus de nos petits débats si terrestres… volons hommes et femmes vers Lui ! On aura la révélation ! »

Marie - 19 février 2024 - 7:49

« Et si ces fameuses phrases proposaient un chemin de méditation nouveau et enrichissant ? »

Stéphanie - 19 février 2024 - 11:25

« On pourrait ajouter aujourd’hui que ce récit est genré : il n’est question ni de femmes ni de sœurs. Peut-être que lorsqu’« on » aura compris, que lorsqu’« on » aura reconnu l’existence des sœurs, des femmes, on vivra une joie de cette intensité ?

C'est quoi cette finale sur le genre qui n'apporte rien à la méditation. »

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Dominique - 16 février 2024 - 21:38

« Merci pour cette méditation, ma soeur, conclusion comprise - je suis en union de prière avec vous sur ce point. »

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Anna - 16 février 2024 - 12:55

« Bravo pour votre audace,merci ! »

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Christelle - 16 février 2024 - 0:23

« Quelle audace ma soeur dans le christ? l'audace négative est "l' Attitude de quelqu'un qui méprise les limites imposées par les convenances", qui méprise je dirais la raison de son engagement: l'amour du Christ mais c'est vrai que le christ était misogyne (12 apotres et rien que des hommes) et les saintes femmes?
Saint Paul n'a t'il pas dit: il n'y a plus ni homme ni femme ni juif ni grec mais il est vrai qu'il était miisogyne aussi »

bruno - 18 février 2024 - 16:27

« Pleurer de joie, c'est merveilleux.... Merci, mais j'ai beaucoup de mal à comprendre la fin de votre commentaire... »

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claudemarie - 15 février 2024 - 23:29

« Comme j'aimerai être comme Joseph, ne jamais pleuré dans les épreuves parce Dieu y est présent et nous réconforte. Pleurer plutôt de joie surtout lors des retrouvailles en famille. Cette cellule de base qui doit être protéger en tout temps et à toutes les époques.
Oui, ces accolades renforcent nos liens de sang.
»

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CLARISSE KABANGA TSHALA - 15 février 2024 - 22:42

« « On » est un pronom indéfini. Personne n’est désigné mais tout le monde est concerné. Il y a d’autres textes "genrés" dans l’Écriture, par exemple Luc 24, 9. Pourquoi les femmes sont-elles choisies pour annoncer en premier la Résurrection ? Ne peut-on pas y réfléchir ?
A demain ! »

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soeur Claire-Marie Monnet - 15 février 2024 - 22:01

« Merci , priez pour moi qui suis malade. »

Therese - 15 février 2024 - 22:43

« Pour sûr Thérèse, je vais prier,
Anita »

Anita - 16 février 2024 - 1:57

« - Pourquoi les femmes sont-elles choisies pour annoncer la résurrection aux apôtres?
- Ne marchons-nous pas à la suite de Marie, mère de Jésus qui au pied de la croix a été donnée comme mère à saint Jean premier prêtre avec les autres apôtres, eux qui ont institué les Anciens (presbytes) en constatant l’ampleur de la tâche à accomplir? N’avons-nous pas un rôle à jouer avec l’aide de l’Esprit Saint dans ce que j’ose nommer l’engendrement spirituel des frères prêtres et leur soutien ?

Le Matin de Pâques, les apôtres les ont reçues avec incrédulité et lorsque Jésus se présente à eux, ils le prennent pour un fantôme (Lc 24, 37)
À l’Ascension, en Mt 28, 17 « Certains eurent des doutes. »
Apparemment, aucune des femmes qui se sont rendues au tombeau vide n’a mis en doute la résurrection de Jésus. La foi est don de Dieu, vertu théologale et charisme…
»

Anita - 16 février 2024 - 2:35

« Désolé ma Sœur, mais votre emploi du "on" est maladroit et le "nous" aurait été beaucoup plus agréable à la lecture... et à la compréhension de nous tous. Le "on" est impersonnel (impossible de savoir de qui il est question) alors que le "nous" est collectif et nous accueille tous, Quant à aborder la question du genre dans une méditation religieuse liée au Carême, c'est aussi plutôt maladroit et inapproprié car de votre méditation d'hier, vos lecteurs n'ont soit retenu que le dernier paragraphe, soit brutalement été perturbés dans leur chemin méditatif. J'estime que ce site de méditations quotidiennes précédant le Carême n'est pas le lieu pour aborder ce "genre" de question... Et vous n'expliquez toujours pas, malgré les demandes, le sens de votre phrase " Peut-être que lorsqu’« on » aura compris, que lorsqu’« on » aura reconnu l’existence des sœurs, des femmes, on vivra une joie de cette intensité ?". Merci d'avance. »

Patrick - 16 février 2024 - 8:19

« Un grand merci Soeur Marie pour votre méditation .....que j'ai beaucoup appréciée. Au moins, elle fait réagir et travailler les neurones. ...."Honni soit qui mal y pense "....Continuez, de nous secouer : Le Carême est fait pour nous dépouiller de tous nos préjugés ....et élargir notre réflexion .
Bonne journée dans la Joie du Seigneur ! »

J.c - 16 février 2024 - 8:39

« Il ne s'agit pas du pronom choisi, évidemment. Il s'agit du propre commentaire féministe "woke" que on peut voir partout dans notre culture et, lamentablement, dans l'église aussi. Et je suis une femme. »

Lena - 17 février 2024 - 13:05

« Merci, Soeur Marie,
Vos écrits apportent une fraîcheur bienvenue dans la stagnation de beaucoup de milieux religieux.
Contrairement à ce que certains commentaires déclarent, je vois les dernières phrases comment une porte ouverte vers une méditation plus approfondie.

Je rajoute un message que j'ai laissé en réponse ici, mais également dans d'autres méditations : Je suis surprise par la teneur des certaines réponses et le langage utilisé. N'y a-t-il pas une personne qui fasse de la modération ici ? »

Stéphanie - 19 février 2024 - 11:17

« Pleurer sous le coup d'une émotion très forte, c'est possible et même vécu. Pas forcément de joie. Par exemple pleurer pendant tout un office, à chaudes larmes qui coulent et qu'on ne peut retenir, même si on a sa dignité d'homme. Dans une situation hors sol, essayant de suivre une messe dite en langue inconnue et dans une basilique étrangère. Hors funérailles d'ailleurs, mais quelque chose de très prégnant, impossible à refouler.
Constat d'une impossibilité.

Ou alors, tressaillir de joie, en avoir les larmes aux yeux. Également sans prévenir, dans une autre basilique de rase campagne mayennaise, entrant simplement sous un parvis.

Que le quasi pharaon Joseph, descendant de son char, fonde en larmes ne le minore pas pour autant. Cela prouve seulement qu'il a un cœur sensible déjà bien mis à l'épreuve mais resté intact. Au contraire des guerriers il est capable de beaucoup d'empathie et montre une grande ouverture d'esprit. Le roi David l'a montré aussi en pleurant amèrement sur sa faute.

"Heureux ceux qui pleurent car ils seront consolés".
Que ce soit une femme ou un homme, on reste un être humain.
»

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Vincent59500 - 15 février 2024 - 20:35

« "Genré", le terme n'est pas bien beau mais il dit bien ce qu'il veut dire!
Le "on" dérange ? pourtant pour moi il ajoute une petite note d'agressivité (bien douce quand même) mais qui traduit bien mon ressenti face à la hiérarchie masculine qui "gère" l'Eglise comme une entreprise: les femmes, les sœurs sauraient apporter une autre "organisation".
Le rapport avec Joseph qui retrouve son père? Je suis sûre que si la mère et des sœurs avaient été présentes la joie aurait été multipliée... mais Joseph aurait-il été vendu?
Merci ma sœur,
Binôme »

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binôme - 15 février 2024 - 19:16

« Jésus dit aux femmes allez dire à mes frères Ce sont les femmes qui ont crus les premières en la résurrection mais ce passage est souvent occulté merci Ma soeur d'avoir osé oui soyons dans la ! nous n'avons pas choisi notre genre;;; mais prenons notre place auprès de DIEU NOTRE PERE ou il n'y aura plus ni anges, ni (genre) continuez votre méditation »

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janri - 15 février 2024 - 18:48

« La fin de la méditation a-t-elle quelque chose à voir avec le récit de Joseph retrouvant son père? Bizarre... »

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cath - 15 février 2024 - 18:39

« Merci pour cette belle méditation sur la joie !
Malgré tous les nombreux commentaires précédents, j'ajoute que la fin me déçoit.
Je n'aime pas le terme "genré" (ni "on")
J'entends bien ce vous voulez dire, la présence des femmes dans la Bible est moindre, mais Dieu n'est-il pas Père et Mère ? Certes les femmes sont plus discrètes, mais elles sont bien présentent quand même.
Dans l'Eglise elles s'occupent des funérailles, elles enseignent la catéchèse, tiennent des permanences au presbytère etc...
Dieu a créé homme et femme à son image. Je ne me suis pas sentie inférieure aux hommes, la raison est sans doute que j'ai un frère aîné, et j'ai élevé trois garçons et je me lie d'amitié plus facilement avec des hommes.
Mystère ??
Mais en écrivant ce mot "genré", je pense que cela accentue l'idée que les femmes sont moindre, or ce n'est pas le cas.
Enfin....restons surtout dans la joie tous et toutes !! Et poursuivons le chemin ensemble ;-)) »

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monette - 15 février 2024 - 17:34

« Je suis totalement d'accord avec vous .
La remarque de cette sœur est très déplacée et hors sujet.
Elle recherche certainement l'unité !!!
Pauvre Eglise. »

BOIRAUD - 15 février 2024 - 19:00

« Surprise!
Merci beaucoup ma soeur Il faut reconnaître que je ne m'attendais pas du tout à cette fin. »

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Sasasita - 15 février 2024 - 17:28

« Moi non plus, je n ai pas compris »

Thérèse - 15 février 2024 - 22:45

« Merci pour votre partage qui nous invite à la JOIE.
En marche avec JOIE pendant ce temps de désert »

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Isabelle REUSE - 15 février 2024 - 16:01

« Merci à Soeur Marie pour la vérité de ces propos. Elle se situe dans la ligne des travaux du synode.
Son commentaire doit susciter bienveillance et accueil. L'Eglise ne nous enseigne-t-elle pas l'estime de la pensée d'autrui même si les avis divergent
Bien fraternellementr
Evelyne »

Maurice - 15 février 2024 - 16:10

« Ministères et missions, affaire d’ambition ? De compétition?

« Les saints et les saintes qui ont changé le monde. » intéressant à lire, cet article que je viens de trouver sur internet.

L’Église à laquelle j’appartiens est celle qui a contribué à changer le monde. Elle se compose d’hommes et de femmes. Il est intéressant de réaliser qu’avec - saint Dominique, il y a Catherine de Sienne avec
- Thérèse d’Avila, saint Jean de La Croix
- François d’Assise, Claire d’Assise
- Avec les Jésuites, les Xavières
- Benoît, Scholastique
- Sainte Monique, et saint Augustin…
ET
- Les hommes mariés qui aiment l’Église comme le Christ l’a aimée et leurs épouses qui incarnent l’amour de l’Eglise pour son Époux, et qui sont prêts à donner jusqu’à leur vie en martyrs comme l’ont fait sainte Cécile et son mari Valérien.
- Et les bienheureux Louis et Zélie Martin
- Et Marie, mère de prêtres debout au pied de La Croix avec saint Jean l’un des premiers prêtres, icônes vivantes annonçant l’Ordre des prêtres et l’Ordre des Vierges Consacrées, épouses du Christ.

Il y a divers ministères et missions dans l’Église mais c’est d’un unique Esprit que tous et chacun voient surgir la fécondité de leur vie. Paul a semé, Barnabé a arrosé mais c’est Dieu qui fait grandir. Et c’est Jésus qui choisit et il ne refuse aucun de ceux qui viennent vers lui parce que le Père lui-même les lui offre.
Ma mère me répétait souvent : « Comment se fait-il que vous ne connaissiez pas l’histoire de votre Église…
Anita »

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Anita - 15 février 2024 - 15:17

« Merci, Chère Soeur Marie, pour votre méditation, qui a pu en surprendre plus d'un ! .... La conclusion est "osée" mais tellement vraie : "Où sont les femmes ? les filles et les soeurs ? , absentes dans ce passage, comme très souvent dans l"A.T ....sinon pour des seconds rôles . L'Ange du Seigneur, qui apparaît, annonce ,toujours, la future naissance d'un " fils" ..... jamais, d' une fille : la nouvelle serait ternie ? .... Cette mentalité, hélas, résiste encore dans bien des Pays en grande pauvreté ... et c'est dramatique . Pour "survivre" les parents vendent leurs filles pubères, jamais le fils, qui devient l'Assurance de leurs vieux jours. Par pudeur, "On " préfère se taire ..... et fermer les yeux !

Il reste que ce récit est beau et émouvant : Joie immense des retrouvailles pour Jacob et sa Tribu de fils (13, avec Joseph) .... Les soeurs ne sont sûrement pas loin, mais, trop occupées , pour partager l'allégresse générale . .... Joie sans égale pour Joseph qui retrouve sa Famille et sait pardonner, à ses frères, sans tergiverser.

Heureusement, les mentalités évolues doucement mais sûrement ....La Femme arrive à surmonter tous les obstacles à l'égal de l'homme et souvent mieux (indépendance, études, travail ) Cependant, les femmes ne sont pas toujours reconnues à leur juste valeur . "On" devra attendre encore . Même en Eglise, elles n'ont pas toujours la place qui pourrait leur convenir (Diaconnat ) . .....

Bon Carême.... dans une Joie partagée. »

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J;c - 15 février 2024 - 14:54

« Filles absentes du récit ?
J’en suis bien contente ! Ce récit est le point d’orgue d’un récit qui pourrait devenir le sujet d’un opéra. Il rapporte la jalousie de 11 frères envers leur petit frère, jalousie les conduit à le vendre et à annoncer sa mort à leur père par un mensonge… Le drame se dénoue de façon imprévisible … à la façon de Dieu.

Ce récit rejoint ceux de l’enlèvement et la vente des petites filles qui se produisent encore aujourd’hui. Je suis bien contente que les filles de la famille de Jacob n’aient pas contribué à ce complot.

Quant au temps des retrouvailles beaucoup d’encre versé sur l’omission de ces quelques mots « et leurs femmes et leurs filles ».

Mais le sujet est brûlant d’actualité. J’ai une petite soeur qui est féministe convaincue. J’en sais quelque chose.

P.S.
J’ai écrit l’icône de Joachim et Anne lors de leur rencontre suite à l’annonce, à chacun, par un ange, de la naissance de leur petite fille Marie, … d’après le protévangile de saint Jacques. »

Anita - 15 février 2024 - 16:07

« Bonjour à tous,

C'est le Mémorial de Blaise Pascal qui m'est arrivé à l'esprit à la lecture du titre de la méditation "Pleurs de joie". Il s'agit de la fameuse nuit de feu où le le savant est gratifié du don des larmes dont voici un court extrait :

FEU
Dieu d'Abraham, Dieu d'Isaac, Dieu de Jacob,
non des philosophes et des savants.
Certitude, certitude, sentiment, joie, paix.
Dieu de Jésus-Christ.
...
Joie, joie, joie, pleurs de joie."
...
Pascal, Oeuvres complètes, II, La Pléiade, Gallimard, 2013, p. 851-852.
Bonne fin de journée,

Philippe

»

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Philippe - 15 février 2024 - 14:48

« Bonjour à tous,
RÉCIT GENRÉ ? Je dirais plutôt tôt QUERELLE DE GARS et RÉCONCILIATION
- Le récit du jour est celui de retrouvailles suite à une querelle de gars. Les frères avaient cherché noise puis vendu leur frère… et répandu la nouvelle qu’il était décédé suite à une rencontre avec une bête sauvage.
- Pour les récits de querelles de filles, qui semblent à l’ordre du jour, il est intéressant de se retrouver en Gn 16, 4-10 et Gn 21, 8-12 où il est question de Sarah et Agar ; Ou encore en Lc 10, 38-42 où Marthe cherche querelle à sa soeur Marie qui l’a laissée en plan avec toutes les tâches ménagères…
Pour ceux que la mention des femmes dans la Bible intéresse écrivez dans Google : « Liste des femmes dans la Bible », leur nom apparaîtra par ordre alphabétique ainsi que la référence biblique qui les concernent. Ils en ont répertorié 37. Bonne lecture ! Super intéressant… Il y en a de tout acabit.

Revenons à nos moutons : le récit de la rencontre de Joseph et sa famille ou quand DIEU SAIT RETOURNER UNE SITUATION DE PÉCHÉ GRAVE EN OCCASION DE SALUT POUR TOUTE UNE FAMILLE QUELLE JOIE À EN PLEURER À CHAUDES LARMES lors de retrouvailles.
Les occasions de réconciliation et de retrouvailles dans nos vies donnent une occasion de jubilation au ciel, ils et elles célèbrent la joie de Dieu lors de notre réconciliation… comme par exemple la brebis retrouvée, le fils prodigue, qui sont devenus occasion pour organiser grande fête au ciel, la réconciliation de Jacob et d’Ésaü Gn 33, 1-4 »

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Anita - 15 février 2024 - 14:15

« oui il y a des moments dans notre vie où tout s'effondre comme un puits profond , la trahison , l'incompréhension , la jalousie , les deuils de toute sorte mais toujours , toujours pour voir le noir il y a la lumière
la lumière toujours , la lumière partout
Bon Carème à vous tous »

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IDA - 15 février 2024 - 14:15

« Alors là, soeur Marie, bravo ! Que le ciel vous entende (dans le brouhaha général - les rapiamus, disait ma mère ...) ! Qu'ON s'aperçoive enfin que sans elles, l'Eglise ne tient plus, ni le caté, ni les funérailles, ni les mouvements, ni le secrétariat et je ne parle même pas du ménage...
Dans l'attente de cette joie, je prie avec vous et pour vous, chère soeur. »

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Chris - 15 février 2024 - 13:17

« Merci ma soeur pour votre méditation éclairante et courageuse!
Prions pour que les personnes touchées par l'épreuve de la séparation retrouvent la Joie d'une retrouvaille ou d'une présence autre avec les êtres qui leur manquent. »

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Véronique - 15 février 2024 - 12:40

« Trop bien, comme disent nos jeunes , ma soeur
Un récit genré : vous auriez pu dire tout autre chose mais vous avez écrit cela qui me met de bonne humeur, en joie pour longtemps
Oui, nous y sommes, la femme aujourd’hui prends place un peu partout,
vivent nous, soyons heureuses et bienheureuses que ce temps soit arrivé , aussi grâce à vous soeur Marie , pour votre voix qui résonne comme une cloche joyeuse dans le matin calme de la vie. »

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Godelieve - 15 février 2024 - 12:05

« Pleurer de joie pour faire disparaître nos craintes et nos angoisses reçues pour fortifier nos coeurs.
Amen 🙏 »

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Ninine - 15 février 2024 - 11:39

« Merci ma Sœur pour vos belles méditations. Malheureusement, la chute de celle d'aujourd'hui sur les pleurs de joie surprend, déroute un peu et engendre une certaine incompréhension... Est-ce à cet instant la place d'un argument qui, tout aussi pertinent qu'il soit, relève d'un tout autre débat, malheureusement occulté par notre Eglise qui se refuse presque à l'ouvrir ! Quant à l'emploi du "on", il est plutôt maladroit de l'employer à l'écrit. Le "nous" aurait été tout aussi pertinent et plus élégant à la lecture. Vu les différents commentaires publiés ce jour, il serait peut-être souhaitable d'apporter quelques précisions sur ce sujet précis. »

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Patrick - 15 février 2024 - 11:26

« Ma Soeur,
"On est un con", c'est ce que l'on a coutume de dire, et ce dans un genre masculin, vous en conviendrez.
Les figures des femmes dans l'Évangile sont celles qui sont les plus fines, les plus à l'écoute du Christ. Les apôtres sont 12 hommes, de pauvres besogneux choisis presque comme force brute. Et c'est Juda qui trahira Jésus, et Pierre qui le reniera. Cela fait beaucoup sur le dos des hommes à "petit h".
Les écritures sont un trésor qui nous parle dans un équilibre subtil, même dans le fameux Éphésien 5.22 ("Femmes, soyez soumises chacune à votre mari, comme au Seigneur...") qui nous enseigne cet équilibre si tenu entre l'Homme et Dieu, la femme et l'homme, ...
Peut-être pourrais-je vous suggérer, que c'est bien la nouveauté radicale du Nouveau Testament qui vient rééquilibrer ce texte de la Genèse ? Et que, toujours, l'Évangile est bien source de modernité. »

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Erwan - 15 février 2024 - 11:19

« Ma sœur, « on » comprend et on reconnaît votre existence, celle des femmes, grâce à l’Evangile. « On » sait que Dieu est père, fils et Saint Esprit. Dieu n’est pas mère ou fille. Mais « on » sait aussi que le fils a une mère, sainte parmi les saintes, et que toutes les femmes sont nos sœurs en Christ. « On » pourrait ajouter aujourd’hui que le mot Eglise aussi est « genré » (sic), ce qui n’en exclut pas les enfants mâles de Dieu ;) »

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Pascal - 15 février 2024 - 10:34

« Grâces vous soient rendues, chère Soeur et soeur ! Pour votre sensibilité, votre féminité qui “ose“ s'exprimer (et revendiquer) de manière inattendue, surprenante peut-être mais bien à propos ! Mais à découvrir une part des réactions, nous pouvons comprendre qu'effectivement, il faudra encore bien du temps, de la patience, mais aussi de la légitime “revendication appuyée“ pour donner droit à la juste place des femmes dans l'église ! Merci et bravo poiur le coup d'audace, pourrons-nous dire ! Cependant, d'autre part, votre “ON“ nécessite sans doute quelque éclairage pour mes frères et soeurs de ce site, quelque peu “perturbé“ : ce serait dommage de les perdre parce qu'ils se ressentiraient étrangers à votre méditaion et imploration vers les “ON“ ! J'ai joie réelle à vous partager cette réflexion et à rejoindre votre “protestation“ ! »

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Jean-Claude - 15 février 2024 - 10:22

« Loin d'être une protestation cette méditation me semble plutôt une invitation.
Je vous rejoins sur le "ON". UN "NOUS " tout autant appuyé aurait sans doute passé "CREME" tout en douceur comme les femmes de la bible....lol...humour et joie du carême. ❤️🙏😉 »

Kily - 15 février 2024 - 10:29

« Ce récit est genré, comme vous dites, et en plus il est intergénérationnel mais que dans un sens. C’est le fils qui va à la rencontre du père.
Quand la valeur n’attend ni le nombre des années ni le genre, « On » touche du doigt la synodalité. »

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On - 15 février 2024 - 10:17

« Bonjour chère soeur. Comme beaucoup d'autres auditeurs, je m'interroge sur la pertinence sur vos dernières phrases. Il convient même d'être vigilant car certains ont tendance à croire que seuls les hommes sont importants dans la Bible, ont un rôle. Or il n'en est rien. Ce rôle est plus discret mais tout aussi important. Elles sont présentes avec la douceur, la discrétion.. Le Christ était un homme mais la Vierge Marie était une femme.
Ne soulevons pas de point qui aujourd'hui divise l'Eglise et impacte directement la pastorale dans certaines paroisses. Dieu aime les femmes, autant que les hommes.... En fait il aime l'humanité et dans sa grande sagesse il a créé la femme car il pensait que ce serait "bon" pour l'homme.
Que Notre Seigneur vous bénisse »

Répondre

sandrine - 15 février 2024 - 10:11

« Bientôt viendra le temps de la Révélation.
Le 3ème secret de Fatima.
Et c'est à ce moment que les mots de Sr Marie prendra toute sa plénitude et entendra qui pourra. 🙏 »

Kily - 15 février 2024 - 10:37

« Quel commentaire porteur et ascendant jusqu’à la chute brutale d’une conclusion « genrée » qui n’a pas là sa place et qui provoque au mieux l’incompréhension ou pire l’exclusion. Quel dommage… En union de prière 🙏🏻 »

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Jean-Louis-Joseph - 15 février 2024 - 10:00

« 🙏 »

Christine - 15 février 2024 - 10:32

« en voilà. une occasion de joie pour aujourd'hui ! prendre conscience de la force de cette joie qui réuni , pacifie et restaure.
merci pour votre petite conclusion pleine de vérité et d'humour! Bien sûr que la joie, et quelle Joie sera à ce rendez vous quand "On" nous accueillera ! »

Répondre

D. - 15 février 2024 - 9:53

« Bonjour soeur Marie, moi non plus je ne comprends pas pourquoi employer le mot "genré". Que vient-il faire dans cette histoire ? Et également ce " On". Très mystérieux... »

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Marie Paule - 15 février 2024 - 8:54

« Je trouve que c'est au contraire très courageux »

Marie-Jo - 15 février 2024 - 15:29

« Merci votre texte fort en amour et d avoir parlé des femmes, de notre présence et non toujours celle des hommes. Le rôle des femmes doit avoir plus de représentations au sein de l Église afin que Tous et Toutes trouvons notre chemin et notre place. »

Répondre

natacha - 15 février 2024 - 8:53

« Bonjour, j'adhère complètement à votre commentaire! merci beaucoup. ca fait du bien...courage et encore merci!
bien fraternellement »

Répondre

marie georges - 15 février 2024 - 8:39

« Bonjour Sœur Amélie,
Les seules larmes de joie que j' ai eues - aussi loin que je m' en souvienne - sont celles à la naissance de mes enfants .
Mais qu' elles furent douloureuses lorsque ma chère fille Carole me fût ravie....et qu'elle tristesse amère accompagné ma vie aujourd' hui .
Le " on " de votre dernier commentaire m' interpelle et pour moi signifie que ce passage de l' AT peut s' adresser à tout le monde , même s' il est genre.
Est- ce bien cela ?
Merci de m' éclairer. »

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Marie - 15 février 2024 - 8:35

« Bonjour
Merci pour votre commentaire.Pouvez vous m'expliquer votre dernière phrase à propos de "on aura compris" ...ce qui est genré...?
Merci joie pour ce jour ! »

Estelle - 15 février 2024 - 8:51

« Bonjour ma Soeur moi non plus je ne comprends pas cette fin inattendue qui parle du genre ? De ce ON dont on aurait besoin? En tant que femme je suis un être de Dieu et je me sens concernée par ce qui arrive à Joseph et à son père car je suis un humain merci »

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Emmanuelle - 15 février 2024 - 7:49

« Pour faire suite à vos commentaires, Emmanuelle et Marie Amélie, comme vous, la fin me laisse perplexe. Je relirai la méditation en oubliant la fin......

»

Geneviève - 15 février 2024 - 10:14

« Que de messages négatifs ! Oui certains cathos ne veulent pas de nouveaux mots dans leur vie. Mais c'est la réalité qu'il faut accepter. »

Marie-Jo - 15 février 2024 - 15:33

« Réponse au commentaire de Marie-Jo publié ci-dessous à 15h33: Chère Marie-Jo, permettez moi de vous dire, avec tout le respect que je vous dois, que votre commentaire est totalement outrancier et inapproprié ! Outrancier car votre formule "Oui certains cathos ne veulent pas de nouveaux mots dans leur vie" est un jugement de valeur qui n'apporte absolument rien au fait de la présence surprenante et déroutante de ce dernier paragraphe de la méditation de Sœur Marie ("récit genré", "on"). Croyez vous utile de stigmatiser une partie de nos frères ? Et peut être sœurs ? Inapproprié car ce site n'est pas le bon endroit pour porter un combat d'idée, quel qu'il soit. Ce site "Carême dans la ville" existe simplement pour faire vivre à ses abonnés les quarante jours précédant Pâques grâce à une phrase choisie et une méditation... Laissez nous vivre paisiblement ce Carême et allez polémiquer ailleurs ! »

Patrick - 15 février 2024 - 21:45

« Merci infiniment, Soeur Marie, pour vos méditations.
J’aimerais beaucoup avoir des éclaircissements sur la fin énigmatique de votre méditation d’aujourd’hui. Que veut dire le « on » de « on aura compris »? En fait « je » ne comprends pas :-) »

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Marie-Amélie - 15 février 2024 - 7:01

« Merci sœur Marie

Ceci me rappelle de ces pleurs de joie qui s’amènent quand on rencontre Jésus dans l’eucharistie pendant la messe ou l’adoration, dans le sacrement de pénitence et dans le partage sur les merveilles de Dieu avec les frères et sœurs.
Seigneur comble nos cœurs de joie en ce jour. »

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Marie Christine - 15 février 2024 - 6:28

« Certaines épreuves sont parfois si lourdes qu’elles nous empêchent d'avancer. Seul le fruit de la grâce peut nous aider à ouvrir les portes de notre cœur au Seigneur. Le Deutéronome dans les lectures d’aujourd’hui nous donne une piste pour cela : « Ce que je te commande aujourd’hui, c’est d’aimer le Seigneur ton Dieu, de marcher dans ses chemins. » Dans nos épreuves, regarder et imiter le Christ lui-même qui, dans la souffrance atroce du Chemin de croix, s’est laissé accompagner de Marie, sa mère, de Véronique, des saintes femmes de Jérusalem... mais aussi du cyrénéen !
»

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Christiane - 15 février 2024 - 5:44

« Merci sœur Marie.

Des larmes de joie. Quand on retrouve des amis (es), un logement, la santé. Quand le mépris la haine la peur l'indifférence ne sont plus. Quand on retrouve la main tendue de l'autre et que l'on puisse aussi donner la sienne bien fragile parfois. Des larmes d'Amour. Un Amour oublié pour l'autre. Un rendez-vous d'Amour pour chacune et chacun. Un sourire. Un bonjour je suis là pour toi !
Merci aussi de nous rappeler en tant que femme, sœur notre existence. Allez vers vos frères Dieu et vous même. Un temps de carême vers la liberté nous dit le pape François. Mais aussi vers vos sœurs. On ne le dit pas assez souvent.
L'image de cette femme qui pleure me rappelle à moi-même. Il y a des larmes beaucoup de larmes parfois. Celles de notre cœur ❤. De nos faiblesses de nos forces. Des larmes de joie. Tant de larmes différentes pour les mots que l'on n'a pas su dire. Ou entendre. Ou des blessures à l'âme qui nous rendent encore plus fortes.
Joie dans vos cœurs libres en ce temps de carême de liberté d'espérance et d'Amour ! Et le secret de nos prières avec toi seigneur.
Bonne journée à toutes et tous.
En union de prières avec vous. »

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Christine - 15 février 2024 - 5:15

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