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À vous la parole (27 commentaires)

« Encore un peu plus d'explications sur le pardon.... je comprends un peu mieux... En fait, c'est toujours de l'amour que l'on parle.... Ah si tout le monde s'aimait d'un amour sincère, je crois bien que ce serait le paradis... Un grand merci »

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claudemarie - 16 mars 2021 - 17:53

« Merci frère Jean-Michel de nous accompagner sur nos chemins de vie, sur nos chemins de nos croix. Je viens de prier le chapelet, aujourd'hui avec les mystères douloureux. Le Seigneur l'a portée avant nous cette croix. Il l'a portée pour que les nôtres soient moins lourdes; pour nous pécheurs, lui l'Agneau sans défaut, le Fils de Dieu. Oui, comment ne pas perdre coeur pour chaque soufflet, pour chaque crachat, pour chaque coup de fouet...
Et pour tous ces frères qui ploient sous de lourds fardeaux dans un monde indifférent ? Comment ne pas se mettre à genoux et demander pardon.
« Si tu connaissais tes péchés, tu perdrais cœur. »
Cette méditation, je l'ai écrite sur un petit carnet en molesquine noir il y 70 ans, c'était l'époque de "Jeunesse qui s'épanouit"...
J'ai fait simple, depuis dimanche, je traîne ma vie...
Union de prière avec vous tous, toutes. Merci frère. »

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Marie Jeanne - 16 mars 2021 - 17:11

« Je relève deux phrases : "Avec Jésus, l'amour précède toujours l'accusation et accompagne le relèvement."
Le fils prodigue : "Se sachant aimé, il peut assumer sa faute"
Avant même que nous péchons, Jésus nous aime, il sait mais par son amour, il nous relève. Il est rassurant de le savoir, mais attention, gardons nous de penser que puisque Jésus nous aime, nous pouvons refaire à volonté nos péchés, nous serons toujours pardonnés.
Je dois en faire l'analyse, ou plutôt mon examen de conscience en regardant la vérité en face, est-ce que je peux m'améliorer ? C'est déjà un petit pas de fait vers cet amour inconditionnel.
"On refait pas l'histoire, mais on peut ranger sa maison,
y a plus de larmes dans nos placards, que de raison.
On refait pas l'histoire, mais l'on pourrait changer de ton
Dites n'est-il jamais trop tard
Pour un pardon ?" (de Vianney)
Une fois libéré de mes fardeaux, lorsque le pardon est réciproque, quelle joie. Je vais ranger ma m »

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monette - 16 mars 2021 - 16:50

« (parti trop vite ,,)
Ranger ma maison intérieure, et j'ai du travail pour chaque jour. »

monette - 16 mars 2021 - 16:52

« Merci beaucoup Frère pour le beau message donné ce matin. Recevoir le pardon de Dieu donne de la dignité à qui il pardonne. ... Se sachant aimé, une personne peut assumer sa faute.
Quelle confiance cela produit en moi et m'aidera à désirer davantage le sacrement du pardon.
Revenez encore cher grand Frère.
Merci, merci. »

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espérance - 16 mars 2021 - 15:07

« " sans cette prévenance de l'amour et du pardon, nous serions désespéré par la noirceur du péché"
J'ai mieux compris ces paroles après le décès de mon époux.
Comme c'est souvent le cas, la vie vécue avec l'autre revient à la survace, on se souvient de tout, on épluche, on analyse, on voit tout l'amour qu'il nous a donné et on l'idéalise de plus en plus...la culpabilité n'est plus très loin...
Dans ma foi, je crois que celui qui est parti vit dans l'Amour du Père et n'est plus qu'Amour, aussi ma culpabilité se transforme petit à petit en un "joyeux pardon", ce qui n'empêche pas les moments de tristesse de revenir sporadiquement.
Ce vécu me révèle la grandeur de l'Amour et du Pardon de Dieu ! Kat
»

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Kat - 16 mars 2021 - 13:43

« La Prière de M. l’Abbé Riber « Va, mon frère, pardonne et prends de la hauteur » :

« Va, mon frère, pardonne. Laisse ta rancune aux petits, ainsi que la vengeance. Les morsures, les coups de dents, les coups de langues ne siéent pas aux fils de lumière… Va, mon frère, pardonne. Prends de la hauteur, c’est ça, le pardon. Prendre de la hauteur, c’est vivre avec les grands : les grands du cœur, les grands de l’âme, les grands de l’esprit et du courage. Laisse-toi aller au pardon, laisse sourdre en toi la source vive. Qu’elle coule, qu’elle lave, qu’elle purifie ton cœur et ton esprit. Alors, tu seras en paix. Alors, ton poing fermé s’attendrira et tu verras s’ouvrir ta main pour la rencontre, pour le pardon. Une main capable de porter le fardeau de l’autre, une main capable d’essuyer les larmes des humbles, une main fraternelle, une main d’homme, qui se tend et qui ressemble à la Main de Dieu.
Ainsi soit-il. » »

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Partage - 16 mars 2021 - 12:33

« On dirait que l'abbé Ribert n'a jamais connu la difficulté de pardonner. "Plus difficile que de créer" disait - je crois - un Père de l'Eglise. Il suffirait de prendre de la hauteur et laisser la rancune aux petits, lesquels ne sont pas capables de s'élever ! ... Je ressens une forme de mépris ds cette expression. Des êtres ont pu être tellement abusés par des responsables sensés leur faire du bien et en qui ils avaient mis toute leur confiance. Ce fut mon cas et j'en ai gardé très longtemps une rancune, semblable à un ver rongeur. Et pourtant, j'avais le désir sincère de pardonner, faisant des efforts pour "prendre de la hauteur" allant même jusqu'à embrasser cette personne. Hypocrisie ? Non, mais manque de jugement, de lumière. Tout un travail de rentrée en soi-même, de connaissance de soi-même
est nécessaire pr comprendre enfin que ns sommes tous des êtres inachevés et que le mal qui réside chez les autres est aussi en moi.
Et puis ces derniers temps, au cours d'une lecture (j'avais toujours cru naïvement que les livres apporteraient une solution à mes problèmes), j'ai compris qu'en chacun existait le bien et qu'aimer vraiment, c'était désirer que ce bien (trace divine) se développe de plus en plus chez les êtres. Et "aimer ses ennemis" pouvait être possible sans effort épuisants de volonté.
J'étais heureuse de constater cette nouvelle compréhension qui ne laissait plus de place à la rancune et à la haine. J'avais beaucoup prié pr être guérie. »

Esperanza - 16 mars 2021 - 22:45

« On apprend toujours en recherchant là où ça pèche.
Sainte Thérèse fréquentait particulièrement la sœur qui l’agaçait le plus, par un petit bruit vocal (sûrement involontaire).
Sans être aussi attentifs, pourrions-nous rechercher ces signes déplaisants : pas faciles, mais parlants.
De l’affliction à l’Espérance en passant par la persévérance, nous dit saint Paul un peu plus haut dans le texte.
C’est un travail progressif d’arrondis d’angles, et non pas un jugement foudroyant qui élèverait bien des barrières.
Le péché est le péché et personne n’y échappant, il faudrait presque le dissocier de la personne qui le commet, le considérer comme une chose à traiter, par exemple pour analyser le mécanisme qui l’a généré (motivations cachées, historiques non exprimés, rancœurs, jalousies et autres). Mais $an$ manipulations !
Oui, le Seigneur redonne de la dignité au pécheur, en même temps que la grâce de son Pardon.
Il lui demande de se redresser, tout en l’accompagnant (comme dans la parabole du bon Samaritain).
« Là où il y a le doute, que je mette la Foi, là où il y a le désespoir, que je mette l’Espérance » (prière de saint François).
(Texte en bas) : amusant, cette prière déroulante, que j’ai pratiquée également.
Je me méfie de mes oublis, sauf des difficiles, si utiles.
»

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Vincent59 - 16 mars 2021 - 12:22

« L’Ecriture est interprétée et ne cesse de l’être. L’interprétation évolue , les points de vue s’enrichissent des connaissances que nous avons de nous-mêmes, de l’époque où Jésus a vécu, et de l’histoire juive comme celle de la naissance de l’Eglise . 2000 ans, nos sociétés ont beaucoup appris, même s’il suffit de pas grand chose pour qu’un basculement s’opère aujourd’hui quelque part dans le monde
Ceci parce l’apôtre Paul m’apparaît très différent du portrait que vous nous brossez trop rapidement certes frère Jean-Michel.vous disposez de 2 min.
Seulement
Je ne peux m’empêcher de penser qu’ayant entendu et vu Etienne avant sa mort s’exprimer , -nous entendons bien qu’il parle. dans la droite ligne de Jésus : Jésus parle devant l’assemblée hâtivement réunie de nuit du Sanhédrin dans Luc 23,69 : « désormais le fils de l’homme siégera à la droite de la puissance d’Elohim » (Dieu)-puis Etienne dans les Actes des Apôtres 7, 56 : « voici, je contemple les ciels ouverts et le fils de l’homme debout à la droite d’Elohim »
Pour moi le doute s’est insinué dans le cœur de Paul.
Il connaissait trop bien les Écritures pour ne pas entendre ce qu’ Etienne proclame
Je ne pense pas que Paul haïssait les disciples de Jésus , je pense que certes il était d’accord de tuer Etienne, mais disciple de Gamaliel même  s’il respire encore menace et meurtre, en lui-même les choses étaient plus compliquées, c’est bien pour cela qu’il a vu la lumière venue du ciel
- les traductions sont d’André Chouraqui »

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Godelieve - 16 mars 2021 - 11:25

« Je n'avais jamais pensé à ça ... c'est fort intéressant. Paul garde son mystère et nous ne savons pas ce que l'Esprit avait déjà pressenti en lui avant sa conversion ...
Et ça peut nous rendre humbles devant tel ou telle personne que l'Esprit travaille déjà secrètement !
Merci »

MARIE THERESE COURCOUL - 16 mars 2021 - 12:29

« C'est vrai, le pardon ne doit pas être une posture, genre "je fais le généreux". Ce n'est pas un déni de justice.
Si je pense à mes propres fautes, ce m'est plus facile de pardonner à autrui. Comme beaucoup, je garde un fond d'égocentrisme qui me fait ressentir les fautes d'autrui envers moi comme des affronts impardonnables, et à l'inverse, mes propres offenses comme des peccadilles très excusables. Mais je me rappelle : "la mesure dont tu te sers pour juger les autres sera aussi utilisée contre toi".
Tout de même, il ne faut pas pardonner trop facilement, l'autre peut le percevoir comme un encouragement à recommencer ("cela ne lui fait rien, donc je n'ai pas à m'en faire"). Non, le pardon, c'est faire grâce, donner une chance à l'autre de se relever, de ne pas rester enfoncé dans son péché, de ne pas crouler sous le poids d'une dette perpétuelle,. C'est une libération. Et c'est ce sentiment qui permet d'accepter les conséquences, la réparation à assumer .On dit bien "payer sa dette à la société",
Perso, je ne suis pas trop portée au ressentiment, mais plutôt à l'apitoiement, pour tenter de passer à travers les gouttes. Les psys appellent cela "le jeu de la jambe de bois" ("que peut on attendre de quelqu'un ...") Hypocrisie...
Et surtout, j'en ai longtemps voulu à Dieu, l'accusant de ne pas m'avoir bien réussie. Comme je me rejetais et me condamnais, je faisais une projection de ce sentiment sur lui, ce qui me bloquait la confiance. Orgueil...
Mais Dieu a le dos large. »

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antoinette IDF - 16 mars 2021 - 11:09

« Heureusement que dans les Evangiles on découvre en Jésus un homme tout simplement. Combien de fois je "bous de colère" car j'estime que mon entourage (les "uns" et les "autres") a été trop loin.
Alors la "prévenance" de Dieu à travers Jésus?
Oui Jésus un homme aussi. Excédé par les marchands du Temple, anéanti par la mort de son ami Lazare, saisi par la peur de sa mort proche le soir du jeudi saint. Bref un homme... »

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guy - 16 mars 2021 - 11:06

« Après avoir lu votre méditation Frère Jean-Michel, le sacrement de réconciliation et de pénitence n'est plus tout à fait cette épreuve que beaucoup redoutent et se refusent à franchir. Le pardon reçu reconstruit l'estime de soi malmenée par la répétition des fautes qui nous entraînent vers une dévalorisation à nos yeux et à ceux de l'entourage La communion des saints peut aider à maintenir "la tête hors de l'eau" mais il ne faut pas se cacher que c'est un combat dont on ne sort pas toujours au mieux. Dieu est patient "Je me tiens derrière la porte..." Il nous est donné le choix de l'ouvrir un peu, en grand. pour laisser entrer la Lumière »

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mahona - 16 mars 2021 - 10:20

« Merci, frère Jean Michel pour ces profondes méditations sur le sens et la valeur du pardon. »

Emilie - 16 mars 2021 - 10:50

« Merci pour cette belle méditation ! Je retiens cette phrase tellement profonde : " se sachant aimé , il peut assumer sa faute . " »

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Séverine - 16 mars 2021 - 10:17

« Amour et vérité se rencontrent, justice et paix s'embrassent ;
la vérité germera de la terre et du ciel se penchera la justice.
(Psaume 84)
La justification vient d'une rencontre.
La justice vient d'une embrassade. »

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Jacques - 16 mars 2021 - 7:17

« Moi, je pense que Jésus -par sa colère face aux marchands du Temple ou bien aux “hypocrites” pharisiens- montre aussi son amour: amour de Verité, mépris vers le peché et la faute de l’homme qui a perdu de vue les prioritées, qui s’est égaré. Il condamne “le peché pas le pecheur”. Il fouette, il s’indigne, d’une façon prophétique, pour donner un signe, pour manifester ce qui ne va pas, ce qui ne correspond plus au dessin de Dieu. C’est une correction fraternelle. Corriger son frère est une oeuvre de miséricorde. »

Emilie - 16 mars 2021 - 10:45

« La correction fraternelle ok. Sauf qu’avant de faire claquer le fouet on peut tenter la discussion calme et posée, non? Alors peut-être ça a été fait, mais ce n’est pas écrit. Et je trouve que la colère de Jesus sert trop facilement de justificatif à nos colères dites « saintes »...
oui si tu t’entêtes tu passes en justice et tu n’en ressors pas avant d’avoir payer toute ta dette, etc...
Mais quand même, il y a différentes façons, différents tons pour dire à quelqu’un : malheureux es-tu, toi l’hypocrite. Et la colère violente n’est pas le meilleur moyen. Alors Jesus homme, ça ne me pause aucun problème, mais un Dieu bon, compatissant envers tous, qui pique une colère sans avoir expliqué les choses avant, non! Encore une fois ça manque de beaucoup trop de transitions dans les écrits évangéliques pour savoir comment ça s’est passé.
si Jesus n’a pas réussi à convaincre tous ses contemporains qu’il était Dieu c’est quand même bien que quelque part il n’a pas su montrer et faire comprendre à ces hommes qu’il ne voulait que leur bien, qu’il les aimait, que leur vie ne pouvait qu’être meilleure s’ils le suivaient, s’ils l’écoutaient, s’ils lui faisaient confiance...
Et des coups de sang comme contre les vendeurs du temple, ou jeter sur la place publique sans un ton compatissant des mots comme « hypocrites », ça ne sert pas le bien et l’amour. Ça enferme un peu plus dans une posture de rejet et de dureté, voire de l’humiliation.
Tout sera dévoilé, certes, mais comment? »

Leo - 16 mars 2021 - 12:24

« En réponse à Leo - 16 mars 2021 - 12:24
Regardez, s.v.p. La méditation du 7 mars, encentrée sur la colère de Jésus face aux marchands du Temple...
Il n’est meme pas question de correption fraternelle, mais plutot de mettre à sa place, remettre sur le droit chemin. Parfois il faut le faire de façon résolue.
On rétrouve bien souvent le Jésus doux e compatissant...
Je croix, je perçois, que ce geste là vient vraiment de l’Amour, pour l’homme et la Verité. »

Emilie - 16 mars 2021 - 18:19

« De toutes façons, dans l’Eglise comme ailleurs, il n’est pas de bon ton d’avoir une vision des choses qui se distingue de « la masse », et notamment de la hiérarchie. Si en plus on est handicapé pour parler calmement, sereinement, on est grillé avant même d’avoir parlé.
Mais tel un ado qui trouve sa voie dans « l’affrontement » avec son père, la mienne devient de plus en plus limpide. Semaine bientôt fini, carême aussi et ma vie n’a jamais été aussi proche de sa fin depuis ma naissance. »

Leo - 16 mars 2021 - 19:25

« Je bous je bous en vous lisant cette nuit. Je bous de colère.
Où est elle la prévenance de votre Dieu dans sa colère contre les vendeurs du temple?
Ou est elle la prévenance de ce même Jesus dans les textes qui parlent des scribes et des pharisiens hypocrites ou des grands prêtres? En tout cas pas souven tdans la façon dont tous ces textes sont lus et interprétés la plupart du temps. Quelle prévenance pour ces gens-là? Suis-je donc la seule à me sentir parfois comme eux et à chercher où est la divinité de cet homme dont vous dites qu'il est vrai dieu?
Pardon, oui, ils ne savaient sans doute pas ce qu'ils faisaient,ce qu'ils font.
Pardon parceque je ne me rends sans doute pas compte non plus de ce que je fais aujourd'hui et ce que j'ai fait depuis toutes ces années sur ce site ou ailleurs dans ma vie....
Je bous, oui, peut-être de cette même colère que vous prêtez à Jésus... et que je ne supporte plus.
»

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& - 16 mars 2021 - 0:30

« Chere sœur, a qui d'autres irions nous! Il est là Vie Eternelle.
»

Michel - 16 mars 2021 - 8:38

« Oui je comprend votre colère, si on regarde ce monde avec nos yeux de chair alors oui il y a de quoi pour se révolter, Le Christ est Amour. Il nous aime tel que nous sommes, regardons autour de nous et nous trouverons un peu de cet Amour que Dieu le Père nous prodigue à chacun, c'est cela qui me fait vivre. Fraternellement. »

claude - 16 mars 2021 - 8:56

« Chère &, comment dépasser la lettre pour arriver à l’esprit.?
le péché : c’est rater le but ,
mal viser , apprendre à viser mieux , nous le pouvons : et donc vivre harmonieusement avec nos proches nous pouvons l’apprendre aussi...
Mais pas toujours : Jésus en est un exemple : ses altercations avec les chefs des pharisiens et les élites de Jérusalem deviennent vite très brutales, je pense aussi que ce qu’il dit est difficile à entendre pour un chef ou dirigeant à l’époque,
Et pourtant de nombreux juifs dont les plus connus Nicodème, Joseph d’Arimathie
le clan de Lazare, sont attirés par lui: ».Nul n’a parlé comme cet homme, »  « nul n’a fait les signes-miracles qu’il a fait »
L’Evangile et la Bible nous ont été transmis, n’est-ce pas merveille pour tous?


»

Godelieve - 16 mars 2021 - 11:51

« Et les 12 apôtres vont répandre et transmettre leur Foi »

Godelieve - 16 mars 2021 - 11:53

« Pour faire suite à ce qu'écrit Godelieve, je pense également que les paroles et les comportements de Jésus, homme juif, ont dû être déroutants et difficiles à accepter Un homme qui ressuscite les morts qui guérit les malades et les impotents, cela a de quoi questionner..Le pays était sous occuption romaine : . Certains ont-ils vu dans Jésus le libérateur de cette occupation ? Ont-ils été déçus ? »

mahona - 16 mars 2021 - 14:04

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